Ronfler nuit gravement à votre santé !

Ronfler est aussi dangereux que de fumer. Tout le monde émet occasionnellement des ronflements. Nez bouché, mauvaise posture, excès de table et surtout d’alcool….. Mais ronfler régulièrement mérite le même avertissement que le tabac car ronfler peut nuire gravement à la santé. . Il est maintenant médicalement établi que cette émission sonore risque fort, avec le temps, de se révéler pathogène pour leur auteur et son entourage. Perturbateurs de la qualité et de la quantité de sommeil les ronflements réguliers provoquent fatigue, irritabilité et occasionnent, déterminent ou amplifient directement ou indirectement divers problèmes de santé pour le ronfleur… et son auditoire !


En France et plus largement en Europe, un homme sur deux et une femme sur trois d’âge mur ronflent de façon régulière émettant un bruit, une sonorité qui peut atteindre voir dépasser 90 décibels soit le même niveau sonore qu’un train qui passe.
Le ronflement est principalement dû à une congestion du carrefour ORL et plus particulièrement de l’arrière gorge.
La conséquence est un blocage, un barrage plus ou moins important du flux de la respiration au niveau de la gorge. Lors de l’endormissement, les muscles de la gorge se détendent, les tissus mous à l’arrière de la gorge se relâchent et diminuent le passage aérien laryngé. De plus, la luette, la langue et le voile du palais peuvent venir obstruer partiellement la gorge.
Pour alimenter suffisamment les poumons en oxygène, le flux d’air est accéléré et renforcé. Sous l’action de ce flux aérien anormalement vif et prononcé le voile du palais et les parois du pharynx se mettent à vibrer et produisent une émission sonore. Le ronflement est ce bruissement sonore dû au passage forcé de l’air dans des voies aériennes supérieures rétrécies, au niveau du larynx.

Les facteurs à l’origine du ronflement sont bien connus.

Les raisons du blocage anatomique du flux de ventilation sont essentiellement à relier à une étroitesse de la gorge, provoquée par une atonie et une relaxation musculaire et tissulaire excessive du larynx durant le sommeil.
Les facteurs en cause favorisant le rétrécissement de la gorge et le relâchement tissulaire démesuré sont: le sexe, l’âge et l’anatomie individuelle. Les hommes ont des voies aériennes plus étroites que les femmes à cause de leur musculature et ont donc plus de risques de ronfler. Au-delà d’une encolure de 42, la probabilité pour un homme de ronfler est une quasi certitude. Avec le progrès de l’âge la dégradation des équilibres hormonaux, chez l’homme comme chez la femme, entraîne une diminution du tonus musculaire et une altération de l’élasticité tissulaire. C’est le facteur clef de la propension à ronfler et de fait, autour de la soixantaine plus de 60% des hommes et 40% des femmes ronflent.
Enfin l’anatomie diffère d’un individu à l’autre. La conformation de la mâchoire, la taille des amygdales, une luette plus ou moins volumineuse ou un palais plus ou moins épais prédisposent les personnes concernées au ronflement.
Tout comme le surpoids (l’excès de graisse diminue le conduit de passage de l’air,) la prise de certains médicaments (tranquillisants, antidépresseurs, somnifères) amplifient le relâchement musculaire ce qui conduit à un rétrécissement du conduit aérien. Ces différents facteurs isolés ou associés, restreignent donc les voies de passage de l’air inspiré et sont susceptibles de troubler la ventilation nocturne et le sommeil en suscitant des ronflements plus ou moins accentués.

Fatigue, maux de tête, faiblesse cardiaque et apnée du sommeil.

Les ronflements sont associés à des troubles de santé sérieux. Outre le fait que les ronfleurs souffrent fréquemment de maux de tête, de stress, de hausse de tension artérielle, de bouche sèche ou de maux de gorge, les conséquences sur l’équilibre hormonal, la sphère cardio-vasculaire, la vigilance et l’immunité présentent une gravité certaine qu’il serait inconséquent, imprudent et irréfléchi de négliger.
Une des conséquences ultime, présentant des risques majeurs est l’apnée du sommeil. C’est un trouble grave qui s’accompagne pratiquement toujours de ronflements sonores.
L’apnée du sommeil est une pathologie au cours de laquelle la gorge se ferme complètement, et le dormeur arrête de respirer pendant plusieurs secondes. Une personne souffrant d’apnée du sommeil peut se réveiller jusqu’à 200 fois par nuit pour recommencer à respirer, mais en général ne se souvient de rien. L’apnée du sommeil peut affecter hommes et femmes de tous âges, mais elle est surtout fréquente chez les hommes après 40 ans, plutôt en surpoids. Les signes les plus fréquents de l’apnée du sommeil sont, outre les ronflements sonores, une forte envie de dormir pendant la journée, des maux de tête, une baisse de la libido, de l’irritabilité, des troubles de la mémoire, de l’anxiété ou un état dépressif.

Après la sieste, la crise cardiaque.

Depuis plusieurs années maintenant, de nombreux spécialistes étaient persuadés qu’une corrélation forte existait entre les ronflements et les maladies cardiovasculaires tels les crises cardiaques et les infarctus. Cette relation a été confirmée par une étude très documentée effectuée par des chercheurs hongrois et portant sur plus de 12000 personnes. D’après cette étude les gros ronfleurs sont significativement plus exposés à une crise cardiaque ou un infarctus en comparaison du reste de la population.
Ainsi les gros ronfleurs et plus encore ceux qui souffrent d’apnée du sommeil, ont un risque augmenté de 34 % d’être victime d’une crise cardiaque et présentent 67 % plus de risques de connaitre un accident vasculaire.

Le conjoint est tout autant exposé.

Surtout, les ronflements génèrent un stress répétitif qui peut déboucher sur des troubles psychosomatiques graves. Ainsi ils s’exposent et exposent fortement leur entourage aux risques de souffrir d’hypertension. En effet les scientifiques ont constaté que la tension augmente en réponse aux bruits provoqués par le fait de ronfler la nuit. Et cela chez les sujets éveillés comme chez les endormis mais aussi des sujets qui partagent leur lit. Le bruit émis par le ronfleur, en plus d’augmenter sa pression sanguine et celle de son/sa partenaire, contribue également à diminuer leurs défenses immunitaires même si, ni l’un ni l’autre ne se réveillent.
Les ronfleurs et leur auditoire souffrent plus que de raison d’hyperirritabilité et encourent de gros risques de fatigue diurne. Ce qui explique d’après des recherches récentes, qu’il y ait plus d’accidents de voiture dûs aux troubles du sommeil qu’à la conduite en état d’ivresse

Les ronfleurs, futurs condamnés au viagra.

Ronfler prive le cerveau d’une partie de l’oxygène dont il a besoin. Ce manque d’oxygène est mortel pour les cellules cérébrales d’où une multiplication des pertes de mémoire et une mauvaise concentration.
Par ailleurs le ronflement supprime le rêve. On ne peut à la fois ronfler et rêver. Ce manque de rêves occasionne un déficit de régénération neuronale et cérébrale ce qui accentue encore la baisse des facultés intellectuelles, en particulier de l’attention et de la compréhension.
Enfin un lien convainquant a été établi entre le ronflement et les dysfonctionnements sexuels chez l’homme. Une étude sur une population de séniors a mis en évidence une augmentation de l’insatisfaction, des problèmes fonctionnels sexuels et des baisses de la libido en relation directe avec l’intensité sonore des ronflements. Plus d’un quart des ronfleurs n’ont pratiquement jamais de relations sexuelles.

Particulièrement mis en cause : les hormones.

Une étude très fouillée, parue dans le Lancet, a mis en exergue une corrélation importante entre les troubles du sommeil et des perturbations importantes de l’équilibre hormonal.
Il en a été déduit que les ronflements et les dérèglements du sommeil qu’ils provoquent, agissent négativement sur la production hormonale des ronfleurs et ce quelque soit l’âge, accélérant la diminution dans la force de l’âge, amplifiant le phénomène dans l’âge mur. Le fléchissement de plus en plus marqué du tonus musculaire ainsi que le relâchement de l’élasticité tissulaire en sont une des principales conséquences.
Dans tous les cas, ce manque de tonicité des muscles et l’excessif relâchement des tissus provoquent, autorisent, ou intensifient les phénomènes vibratoires à l’origine des ronflements et de leur pathologie.

Lutter contre les ronflements n’est plus une mission impossible.

Il apparait essentiel de remédier au problème et ce à tout âge.
Une des meilleures solutions pour diminuer ou faire cesser le ronflement est de stimuler et renforcer la tonicité musculaire et la fermeté tissulaire de la sphère laryngée. Ce qui est possible en restaurant physiologiquement l’imprégnation hormonale tissulaire perturbée par la dérégulation hormonale des hommes comme des femmes (testostérone et œstrogènes entre autres) autant due aux ronflements eux mêmes qu’au progrès de l’âge.
Au cours d’un test clinique mené aux Etats-Unis avec un complexe à base de fibres alimentaires solubles réamorçant physiologiquement l’équilibre hormonal masculin et féminin, il est apparu un effet extrêmement positif chez les ronfleurs… ce qui a donné l’idée à des chercheurs de l’Université de Gwangju en Corée (une des plus importantes d’Asie) associés à HAN-BIOTECH de développer un produit spécifique visant à éliminer ou du moins à fortement réduire les ronflements et leurs conséquences néfastes et délétères sur la production hormonale et la santé en générale.

Un complexe naturel breveté.

Le S-NORM est un complexe breveté de fibres solubles favorisant une augmentation et un rééquilibrage physiologique du niveau hormonal masculin et féminin en particulier de la testostérone et des œstrogènes. Cette action complétée par un extrait d’agar-agar, un antioxydant puissant inhibant l’action délétère du stress oxydatif sur l’efficience hormonale. Un extrait de thé vert, la théanine, renforce l’efficacité de l’ensemble en favorisant l’augmentation de la biodisponibilité hormonale active et la qualité du sommeil. De plus le complexe contribue à contrarier l’action d’hormones indésirables dont la sécrétion est liée aux déséquilibres physiologiques initiées par les ronflements et l’âge.
Cette régulation et remise à niveau hormonale impacte positivement sur l’ensemble de la physiologie de l’organisme.
Son action joue particulièrement au niveau de la tonicité des fibres musculaires et de l’élasticité tissulaire, notamment au niveau de la gorge et ce à bref délai.
S-NORM permet de renverser le cycle vicieux des ronflements : baisse de l’équilibre hormonal donc augmentation du relâchement musculaire et tissulaire donc amplification des ronflements d’où accentuation du déséquilibre hormonal.
S-NORM le transforme en cycle vertueux. Un meilleur équilibre hormonal amène un meilleur tonus musculaire et tissulaire qui entraîne un arrêt ou une minoration des ronflements, ce qui apporte un meilleur sommeil et une diminution des risques pathogéniques… d’où en fin de cycle et en un temps relativement court, un progrès dans la plupart des fonctions biologiques et un effet positif certain au niveau de l’apnée du sommeil, l’hypertension, les déficiences neurologiques, immunitaires et cardio-vasculaires.

Disparition des ronflements en 15 jours.

Les résultats d’un test clinique effectué avec S-NORM portant sur 30 personnes (hommes et femmes) ont montré que plus de 2 personnes sur 3 voyaient leurs ronflements disparaître ou pour le moins diminuer fortement pour devenir des ronfleurs doux, paisibles. Et cela dans un délai de 15 jours à 3 semaines.
En présence d’apnée du sommeil, l’amélioration a été sensible dans tous les cas allant d’une importante atténuation à une complète disparition.
Il a été démontré que le simple fait d’atténuer les ronflements était très positif, car les ronfleurs doux ne sont pas ou fort peu exposés à une augmentation de risques perturbateurs de leur état de santé.
Lorsque le produit réagit dans une moindre mesure, cela est principalement dû à une conformation congénitale du larynx prédisposant aux ronflements et accessoirement à une insensibilité aux principes actifs naturels composant le produit S-NORM (en cas d’ablation des ovaires, ou de la prostate par exemple).
Dans la grosse majorité des cas les résultats sont positifs. Il faut alors renforcer la tonicité musculaire du palais et du larynx pendant une période initiale de 3-4 mois. Par la suite, une prise de S-NORM réduite à une semaine sur deux est suffisante.
En toutes hypothèses et situations, il est profitable de faire l’essai de S-NORM, car dans tous les cas on notera une amélioration du dynamisme général, de la qualité du sommeil, de la mesure du tour de taille et de la qualité de la libido qui compenseront plus que largement un éventuel moindre succès au niveau du ronflement.

Docteur Jean-Pierre WILLEM