A CŒUR VAILLANT RIEN D’IMPOSSIBLE…
SOIGNER, PROTEGER ET MAINTENIR LA VAILLANCE DU CŒUR EST DE PREMIERE NECESSITE

Avoir du cœur ! Avoir bon cœur ! Parler à cœur ouvert ! Courage, générosité, sincérité.
Voici, entre beaucoup d’autres, quelques-unes des qualités attribuées au cœur dans le langage commun ! Ce florilège d’expressions courantes illustre à merveille les fonctions capitales et l’importance de cet organe dans la biologie humaine.
C’est pourquoi il est primordial de prendre « à cœur » son bon état de fonctionnement, afin d’assurer les conditions nécessaires à la meilleure espérance de vie, en bonne santé. À savoir qu’à 50 ans, le cœur a déjà effectué 2 milliards de contractions et que les défections cardiovasculaires sont à l’origine de 400 décès chaque jour en France et du tiers des décès dans le monde !

Le cœur (du mot grec « kardia » et du latin « cor ») est l’organe central du système cardiovasculaire.

Organe musculaire situé dans la cage thoracique derrière le sternum, il a la taille d’un gros poing et pèse entre 250 et 300g.
Il est entouré d’une enveloppe, le péricarde. Son irrigation est assurée par les artères coronaires qui lui fournissent l’oxygène et les nutriments nécessaires à son bon fonctionnement. Le cœur est séparé en deux parties, gauche et droite, comportant chacune deux cavités, une oreillette et un ventricule, reliés par une valve. La fermeture des valves produit le son familier du battement du cœur.

Fonctionnement du cœur

Les contractions régulières du cœur pompent et propulsent le sang dans tout l’organisme, assurant l’alimentation en oxygène et en nutriments des cellules tissulaires organiques du corps entier. Chaque jour, le cœur pompe environ 8’000 litres de sang qui arrivent aux poumons, pauvres en oxygène et riches en gaz carbonique et repartent par les artères pulmonaires, enrichis en oxygène et épurés du gaz carbonique.
Le sang désoxygéné arrivant de toutes les parties du corps pénètre dans l’oreillette droite qui, en se contractant, éjecte le sang dans le ventricule droit. Lequel va se contracter et propulser le sang dans le tronc pulmonaire vers les poumons où il va s’enrichir en oxygène.
Après oxygénation, le sang arrivant des poumons entre dans l’oreillette gauche qui l’envoie dans le ventricule gauche. Lequel va se contracter et propulser le sang dans l’aorte qui assurera sa distribution dans tout l’organisme.
Les artères coronaires, alimentées par l’aorte, assurent l’approvisionnement en sang oxygéné du cœur lui-même.

Les pathologies cardiaques

Organe clé de l’alimentation en oxygène et en nutriments des cellules de notre organisme, la santé du cœur est exposée à de nombreux facteurs de risques, à l’origine des maladies cardiovasculaires.

Le cœur peut être atteint par de multiples affections dont les principales sont :

L’hypertension artérielle : exprime une augmentation chronique de la pression artérielle. Elle risque d’entraîner à terme, un accident cardiovasculaire et une rigidité de la paroi artérielle. Un Français sur trois présenterait une hypertension artérielle.

L’arythmie cardiaque : désigne une perturbation du rythme cardiaque.

Une arythmie caractérise un cœur qui bat trop lentement, trop vite ou de manière anarchique. Ces troubles et les pathologies qui y sont liés sont de plus en plus fréquents, en raison de la population vieillissante.

La tachycardie : identifie une accélération du rythme cardiaque. Elle peut avoir de multiples origines.

L’infarctus du myocarde ou crise cardiaque : qualifie une nécrose d’une partie du muscle cardiaque, en raison de l’obstruction d’une des artères irriguant le cœur.

L’insuffisance cardiaque : indique un affaiblissement dans la capacité du cœur à pomper assez de sang pour apporter suffisamment d’oxygène aux organes du corps. Elle est responsable d’un décès toutes les 7 minutes, en France.

Le souffle au cœur : témoigne d’une insuffisance de fermeture des valves mitrales, turbulences survenant lors de la circulation du sang vers le cœur.

Les valvulopathies cardiaques : correspondent à un dysfonctionnement des valves cardiaques entre les oreillettes et les ventricules. Elles sont à l’origine du souffle au cœur, qui correspond au bruit entendu lorsque les valves n’assurent plus leur rôle.

L’endocardite traduit une infection située au niveau de l’endocarde.

La péricardite établit une inflammation du péricarde, la membrane qui enveloppe le cœur. Elle peut entraîner un épanchement gênant pour l’activité contractile du cœur.

Face à ces nombreuses menaces pathogènes, il apparait primordial de garantir la permanence, la longévité et la qualité du travail cardiaque.

L’apport de principes nutritionnels assurant une protection, une assistance et un entretien suivi de l’appareil cardiovasculaire est un excellent moyen de remédier et de prévenir les risques de dysfonctionnement du cœur et de ses vaisseaux.

C’est la mission remplie par le KITOCURSAC et ses composants : KITOSOME + CURCUMINE + AIL NOIR + Co Q10.

► Le KITOSOME, meilleur contrôleur de la biologie cellulaire cardiaque.
Le KITOSOME est le seul et unique oligomère de chitosan parfaitement soluble dans l’eau. Élaboré selon un processus particulier et exclusif, ses activités biologiques spécifiques ont été largement étudiées, sont cliniquement bien documentées et ont fait l’objet de publications dans la presse médicale internationale.
Il a démontré, entre autres, une très forte affinité cellulaire, ainsi que des propriétés, des qualités et des vertus uniques, originales et spécifiques au niveau de la biologie et de la physiologie cellulaire, cardiaque et vasculaire.
Le KITOSOME est hautement biodisponible et biodégradable dans le corps et parfaitement valorisé par l’organisme.
Continuellement décomposé par les enzymes et les hormones, son efficience biologique atteint 98,5%.
Le KITOSOME est un facteur très efficace de prévention et de réparation des méfaits de l’environnement, du mode et de style de vie et du progrès de l’âge sur les cellules vasculaires, cardiaques, cérébrales et organiques.
Le KITOSOME constitue une des meilleures préventions et protections contre les facteurs de risques susceptibles d’affecter la physiologie cardiovasculaire et cérébrale.

Le KITOSOME contribue à la prévention des maladies cardiovasculaires :
▶ En améliorant le métabolisme et l’oxygénation des cellules cardiaques, clés de la prévention des troubles cardiovasculaires.
▶ En s’opposant à la calcification des vaisseaux sanguins, ainsi qu’à l’arrêt brutal du cœur, qui provoque chaque année plusieurs milliers de décès en France.
▶ En contribuant à minorer le taux des triglycérides, à améliorer le taux de HDL cholestérol et à diminuer le taux de LDL cholestérol.
▶ En neutralisant les radicaux libres à l’origine du stress oxydatif, fort impliqué dans les affections cardiovasculaires.
▶ En exerçant une importante action inhibitrice et régulatrice sur les cytokines pro et anti-inflammatoires, selon une étude publiée dans Neuroscience. L’inflammation chronique silencieuse est une des causes les plus sérieuses reliées aux dysfonctions cardiovasculaires.
▶ En activant et augmentant la production par l’organisme du monoxyde d’azote (NO) dont les propriétés de vasodilatation et de régénération vasculaire favorisent la régulation de la tension artérielle.
▶ En favorisant une bonne régénération des tissus du cœur et des artères, en veillant au bon déroulement fonctionnel de la biologie cellulaire et en optimisant le renouvellement des cellules.

Le KITOSOME protège, contrôle et corrige les processus physiologiques de la cellule.
Il contrôle, conforme et répare la structure cellulaire en particulier cardiovasculaire et prévient les potentielles aberrations liées à la réplication cellulaire.

* Le KITOSOME freine le vieillissement cellulaire et favorise l’augmentation de la durée de vie. La capacité de renouvellement cellulaire diminue avec l’âge de l’organisme. Le KITOSOME est doté de propriétés de stabilisation de la structure de l’ADN, limitant son altération au fil du temps. Ce qui optimise et maintient le cycle biologique cellulaire dans la durée.

* Le KITOSOME stimule l’activité des macrophages, cellules immunitaires présentes dans les tissus cardiaques et vasculaires.
Outre leur mission défensive, elles ont pour rôle de contribuer à l’entretien et au bon fonctionnement des tissus.

* Le KITOSOME protège la biologie du corps en favorisant l’élimination des métaux lourds de l’organisme et en contribuant à la revitalisation de la flore intestinale saprophyte.
Différents tests ont également démontré son potentiel d’évacuation de déchets toxiques et métaboliques hors de la cellule.

*Le KITOSOME accroît de 90 % l’alimentation en oxygène des cellules.

Selon diverses études, l’augmentation de l’oxygène circulant est une excellente mesure de la qualité du métabolisme cellulaire et du travail cardiaque.

En améliorant de plus de 80 % l’évacuation des déchets métaboliques, des agents toxiques (métaux lourds) et parasitaires du milieu intracellulaire, il contribue à neutraliser les facteurs d’accélération du vieillissement.
Le KITOSOME, comme principe actif, assure une assistance diététique sûre pour édifier les meilleures bases d’une santé cardiaque et vasculaire.
Le KITOSOME comme vecteur-transporteur effectif de principes nutritionnels vers et depuis la cellule, active et stimule la perméabilité et la pénétration dans la biologie cellulaire des principes et nutriments qui lui sont associés.
Ce qui a pour effet d’augmenter significativement la biodisponibilité de la curcumine, de l’ail noir, ainsi que de la coenzyme Q10 et de potentialiser leurs propriétés, au profit du métabolisme cardiaque et vasculaire.

► La CURCUMINE soutient la bonne santé cardiaque.
Composante bioactive du curcuma, la curcumine a prouvé des propriétés et des facultés pour soigner, réparer et soutenir le fonctionnement du système cardiovasculaire et immunitaire.
Ce sont essentiellement ses propriétés antioxydantes et antiinflammatoires, cliniquement démontrées, qui sont à l’origine de ses vertus et aptitudes.

Inflammation chronique silencieuse et santé cardiaque.
La cause première du développement des maladies cardiovasculaires est l’inflammation chronique silencieuse. L’environnement associé aux modes et styles de vie actuels génère d’excessives quantités de radicaux libres qui engendrent des dommages oxydatifs aux cellules cardiaques. Ce qui a pour effet et conséquence de perturber leur structure, leur stabilité et leur fonctionnement. Ces altérations amplifient le stress oxydatif et inflammatoire dans le corps, initiateur de nombreux problèmes de santé du cœur et des artères. Entraînant le durcissement et le rétrécissement de ces dernières, il est à l’origine du développement de l’artériosclérose. Avec pour conséquence, une réduction du flux sanguin vers les organes et une augmentation du risque de crise cardiaque, d’accident vasculaire cérébral et de maladie artérielle périphérique. La curcumine permet de contrer les dommages oxydatifs et l’inflammation.

L’activité cardioprotectrice de la curcumine est fondée sur ses capacités :
▶ d’élimination des radicaux libres et de réduction des dommages oxydatifs,
▶ d’amélioration du niveau et de l’activité des enzymes antioxydantes, renforçant la puissance d’actions antioxydantes du corps,
▶ de réduction de l’inflammation, en bloquant les voies et les enzymes qui favorisent un environnement inflammatoire dans le corps,
▶ d’amélioration de la fonction endothéliale, en réduisant les dommages oxydatifs,
▶ de stimulation de la production de NO, le monoxyde d’azote contribuant à la dilatation des vaisseaux sanguins et à la régulation de la pression artérielle,
▶ d’amélioration de la sensibilité des cellules à l’insuline, réduisant le taux de sucre dans le sang et protégeant les cellules bêta du pancréas, des dommages oxydatifs.

En sus de la protection de la santé cardiaque, les pouvoirs antioxydants et anti-inflammatoires de la curcumine ont démontré leur utilité et leur efficacité pour contribuer à :
▶ la réduction de la douleur et de l’inflammation dans l’arthrite (arthrose et polyarthrite rhumatoïde),
▶ la protection contre l’exposition aux radiations,
▶ l’amélioration des troubles du foie,
▶ la perte de poids,
▶ la réduction de la dépression et de l’inflammation cérébrale,
▶ la majoration de l’efficacité de la chimiothérapie.

► L’Ail noir, riche en S-Allyl-Cystéine ou SAC.
L’ail blanc est connu depuis la nuit des temps pour renforcer et protéger le système cardiovasculaire grâce à son riche potentiel antioxydant lié à l’allicine, son principal composé sulfuré.
Celui-ci, grâce à un processus de fermentation d’origine hispanocoréenne, devient de l’ail noir. Le composant allicine améliore fortement son potentiel et s’enrichit d’un facteur antioxydant particulièrement actif : le S-allyl-Cystéine ou SAC. L’extrait d’ail noir que nous avons retenu est particulièrement concentré en SAC (S-Allyl-Cystéine) et s’est révélé particulièrement efficient pour assurer la régularisation et l’élimination des facteurs à l’origine des troubles perturbateurs d’un bon fonctionnement cardiaque et vasculaire.
L’efficacité de son impact et de son influence dans le maintien fonctionnel du système cardio-vasculaire a été vérifiée par différentes études et essais cliniques.

Effets positifs du SAC sur la biologie cardiovasculaire.

Les études démontrent l’efficacité de l’ail noir sur le cœur et la circulation. Plusieurs méta-analyses ont été publiées et montrent que l’ail est un antihypertenseur et un hypocholestérolémiant naturel.
Et que la S-Allyl-Cystéine, substance active essentielle de l’ail noir, réduit le risque cardiovasculaire et améliore le profil lipidique (réduit le LDL et les triglycérides et augmente le HDL).
Réduction de la tension artérielle. Les méta-analyses montrent que, par rapport au placebo, les préparations d’ail peuvent réduire la tension systolique et diastolique de patients hypertendus. D’après ces mêmes études, l’ail noir n’a pas eu d’influence sur une tension normale.

Influence positive sur les lipides sanguins.

Une autre méta-analyse regroupant 39 études a conclu que, chez des patients qui présentaient une hypercholestérolémie (> 200 mg/dl), les préparations d’ail prises sur une période d’au moins 2 mois réduisaient le cholestérol total d’env. 17 mg/dl et le cholestérol LDL d’env. 7 mg/dl.

Les propriétés cardioprotectrices de l’ail noir. Des études in vitro portant sur des extraits d’ail noir normalisés à 0,1% et 0.25% de S-Allyl-Cystéine, ont démontré les propriétés cardioprotectrices suivantes :
▶ Réduction de la pression de perfusion coronarienne et augmentation de la contractilité cardiaque.
▶ Elévation de la production de NO (monoxyde d’azote) favorisant la relaxation des artères.
▶ Réduction du LDL et des triglycérides et élévation du HDL.

Les extraits d’ail noir avec une haute teneur en SAC comptent donc parmi les meilleurs supports au bon fonctionnement du cœur et des vaisseaux sanguins et constituent une prévention particulièrement efficace contre les causes susceptibles de le perturber.

► LA COENZYME Q10
La coenzyme Q10 est une substance similaire aux vitamines. Elle donne de l’énergie aux cellules, renforce la fonction cardiaque et revigore les personnes âgées. Un bon niveau de coenzyme Q10 est une clé assurant une amplification de la production d’énergie cellulaire tissulaire et l’amélioration de toutes les fonctions organiques qui en dépendent.
De nombreux essais cliniques ont montré que la CoQ10 est la clé du bon fonctionnement du métabolisme de l’énergie, mais aussi de la prévention et du traitement des affections cardiovasculaires, ainsi que du vieillissement.

Stimulation naturelle de l’énergie par la Q10. Le corps se compose de milliards de cellules, chacune d’elle étant une “centrale” indépendante qui débite l’énergie nécessaire pour alimenter les différentes fonctions du corps, telle que la contraction du muscle cardiaque et respiratoire. Plus le niveau de coenzyme Q10 est élevé, plus l’énergie cellulaire augmente et améliore la fonctionnalité organique ; plus il est bas, plus l’énergie diminue au niveau de l’organisme et de ses organes et pénalise leurs fonctions. Cette diminution de la coenzyme Q10 liée à l’âge est mesurable dans les organes, et en particulier dans le cœur !
Une supplémentation en coenzyme Q10 contribue activement à augmenter le niveau d’énergie, facteur déterminant et décisif de la qualité de notre biologie cellulaire et donc de notre organisme.

La CoQ10 dans la fonction cardiaque. La coenzyme Q10 joue un rôle essentiel dans la gestion de la fonction cardiaque. Elle soulage l’insuffisance cardiaque en stimulant la capacité du cœur à pomper.
Les effets bénéfiques de la coenzyme Q10 sur la fonction cardiaque ont fait l’objet de différentes études cliniques qui ont montré qu’un apport de 100 mg de coenzyme Q10 par jour avait, entre autres, un effet positif sur la pression systolique.

Coenzyme Q10 et statines anticholestérol. Des études récentes ont confirmé que l’utilisation régulière de statines bloquait la production de coenzyme Q10 par le foie, initiant des problèmes comme la fatigue, les douleurs musculaires et la gêne fonctionnelle cardiaque. Toutefois, ces mêmes études ont montré que l’administration d’un complément de coenzyme Q10 avec les médications anticholestérol provoquait une augmentation des niveaux de coenzyme Q10 et prévenait leur baisse. Une supplémentation en CoQ10 est donc recommandée pour les personnes prenant cette catégorie de médicaments.

La CoQ10 revigore les défenses du corps. La coenzyme Q10 alimente le système immunitaire, ce qui stimule et renforce sa capacité de défense et de traitement contre les infections.

Très puissant antioxydant, la coenzyme Q10 est également une excellente protection contre les radicaux libres résultant du rayonnement ou de la pollution chimique de l’environnement. En neutralisant la formation des radicaux libres qui endommagent les cellules tissulaires, elle aide à construire et à maintenir des structures cardiaques et vasculaires saines.

Le KITOCURSAC, par l’excellente biodisponibilité de ses différents composants et par la parfaite conjonction synergique de leurs actions positives au profit du système cardiovasculaire, garantit qu’un apport régulier assure l’établissement et le maintien :

▶ de l’intégrité cellulaire et tissulaire du muscle cardiaque,
▶ de l’intégrité cellulaire et tissulaire des parois des conduits artériels et veineux,
▶ de la bonne régulation de la tension artérielle,
▶ des contractions-pulsions du cœur, garantissant une parfaite irrigation des tissus organiques,
▶ d’une régulation optimale du cholestérol, augmentant le bon (HDL) et diminuant le mauvais (LDL),
▶ du contrôle et de la réduction des radicaux libres, du stress oxydatif et de l’inflammation chronique silencieuse, initiateurs majeurs de pathologies cardiaques et vasculaires.

En fin de compte, l’apport régulier de KITOCURSAC est la meilleure manière de contrecarrer les actions des différents facteurs perturbateurs de l’intégrité, de la longévité, de la qualité et de l’efficacité de l’activité du système cardiovasculaire.
Outre l’assurance d’un cœur dynamique et robuste, d’un sang fluide et d’artères flexibles, le KITOCURSAC exerce une action positive et stimulante sur le système immunitaire, l’activité hépatique, la résistance au stress, ainsi que sur le contrôle de la vitalité de la réplication cellulaire.

En conclusion, une prise réglée et suivie de KITOCURSAC remédie et prévient les risques cardiovasculaires par l’apport de principes nutritionnels assurant une protection, une maintenance et un entretien continus de l’appareil cardiaque.

C’est le complément alimentaire clé pour aider à l’élimination du risque cardiovasculaire au quotidien, tout en contribuant à conforter, renforcer et augmenter l’espérance de vie, en bonne forme et bonne santé.

Dr. Jean-Pierre Willem