Métaux lourds: quand les petites quantités font les grandes catastrophes.

Mercure, plomb, cadmium, arsenic, aluminium toxiques et toxines… non, il ne s’agit pas de l’inventaire des métaux d’une fonderie mais de ce qui est quotidiennement présent dans notre environnement et que nous absorbons. Alimentation, traitement médicamenteux, produits sanitaires, particules aériennes, ils sont partout, liés à différents supports anodins et ont la fâcheuse tendance à s’accumuler dans l’organisme et à le faire dégénérer. Présents en « doses infimes » et autorisées, ils ne retiennent pas l’intérêt des autorités de santé pour qui les seuils d’alerte ne sont pas atteints. Mais l’accumulation, l’exposition répétée, l’interaction et la synergie d’action des métaux toxiques et polluants font depuis des années des ravages sanitaires silencieux qui commencent à être connus. Seule parade, l’élimination progressive et renouvelée de ces toxiques « lourds » pour retrouver santé et énergie.


« Dormez tranquille braves gens » nous disent encore les autorités de santé. Dans une étude toute récente (publié le 30 juin) effectuée et publiée par un organisme officiel l’ANSES les auteurs estiment que l’exposition des français à chacun des contaminants alimentaires étudiés (360) est sous contrôle… car les expositions des consommateurs restent toujours en-deçà des valeurs toxicologiques admises actuellement. Ces résultats peuvent paraître rassurants mais ils négligent pourtant des facteurs des plus importants, dans l’exposition aux toxiques, tels que la coexistence et la simultanéité d’une multiplicité de substances chimiques et de polluants métalliques, leur cumul et leur addition dans l’organisme, les réactions individuelles à leur contact. Bref tout ce qui est en train d’écrire un nouveau tableau toxico-pathologique qui sera admis et exposé dans 20 ans.

Une bonne santé seulement apparente, des chiffres accablants…

En contre-pied de cette étude une émission toute récente de France 5, diffusée le 4 juillet 2011« la grande invasion » montre que nous sommes progressivement colonisés de l’intérieur par des produits chimiques à base métallique qui se transforment vicieusement en perturbateurs endocriniens détraquant nos mécanismes biologiques avec à la clef stérilité, cancers et autres affections morbides. Les chercheurs trouvent des traces de ces produits partout dans l’organisme, dans les urines, les graisses, dans le lait maternel… Chez les humains on comptait dans les années 50 une femme sur 22 atteinte de cancer… aujourd’hui on est à 1 femme sur 7, ce que l’augmentation de la longévité est loin d’expliquer à elle seule ! Au Danemark une étude a montré que les cancers de la prostate ont augmenté de 400% au cours des 40 dernières années, la baisse de la fertilité diminue de 1% chaque année et la densité des spermatozoïdes a diminué de moitié en 50 ans !!! Des recherches effectuées en laboratoire sur des sujets volontaires mirent en évidence la présence de plus de 70 produits chimiques sur toutes les personnes soumises à l’examen, sans exception.
Pourtant tous en bonne santé apparente… Même si nous faisons très attention, nous sommes tous intoxiqués, 85 000 substances diverses et variées s’insinuent dans notre quotidien et nous ne savons, en réalité rien de leurs effets délétères… et ceux qui les utilisent guère plus hélas!

Il a été démontré que dans le domaine biologique, l’action de ces perturbateurs explose lorsqu’ils s’additionnent dans le corps, engendrant dans leur collectivité de gros risques pour la santé. Malgré l’absence de risque de chacun des toxiques considéré isolément. Ce qui éclaire bien les lacunes de l’étude officielle de l’ANSES… Les auteurs de l’étude eux-mêmes sont obligés de reconnaître des problèmes avec certains aliments courants comme le pain (cadmium, plomb mycotoxines), les pâtes (aluminium), le café (cuivre arsenic inorganique, acrylamide) le lait, les fruits , les poissons… qu’ils recommandent de consommer avec modération…

Ce sont quand même des aliments des plus courants et quasi quotidiens pour beaucoup.

Les métaux lourds qu’est ce que c’est ? L’appellation « métaux toxiques » serait plus correcte que « métaux lourds » dénomination utilisée habituellement. Elle englobe l’ensemble des métaux et métalloïdes présentant un caractère toxique pour la santé et l’environnement : plomb (Pb), mercure (Hg), arsenic (As), cadmium (Cd), nickel (Ni), zinc (Zn), manganèse (Mn), brome (Br) … pour ne citer que les plus connus. D’autres comme le cuivre, le zinc, le chrome sont nécessaires à l’organisme en petites quantités, mais deviennent toxiques à doses plus importantes ou en association avec d’autres toxiques. Il faut savoir que la plupart des contaminants toxiques de notre environnement ont un noyau métallique…

Manger, respirer, se soigner : les voies d’accès privilégiées des métaux lourds. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, nous vivons dans un environnement chimique… des milliers de produits métallo-chimiques baignent notre quotidien. Des sources de pollutions diverses encrassent l’organisme en permanence par différentes infiltrations. Principalement, nous nous polluons en respirant, en mangeant, en nous soignant.

Nous nous imprégnons de métaux toxiques en respirant les gaz d’échappement des automobiles, les émissions aériennes des processus industriels, de la combustion du pétrole, du charbon, des végétaux, les émanations des incinérateurs d’élimination d’ordures ménagères, des déchets miniers et industriels.

Nous ingérons des toxiques en mangeant des aliments contaminés, résultats des pratiques agro-alimentaires modernes stimulant à l’excès, l’utilisation à long terme de composés chimiques pour la protection des plantes. Ce qui a mené à l’explosion des quantités de cuivre, de mercure, de cadmium et de plomb dans les sols et les cours d’eau, contaminant les aliments. Il n’y a plus de poisson sans mercure, et pas de pain sans cadmium, plomb et mycotoxines, de pâtes sans aluminium, de café sans cuivre, et du lait et du fromage sans plomb. On ne trouve plus de frites sans mycotoxines et beaucoup d’acrylamides (principe cancérigène) ni de vin (même bio) sans sulfites (noyau métallique soufre) en quantité…

Nous nous infestons de toxiques en buvant des jus de fruits, de l’eau dans des bouteilles en plastiques, en récurant notre vaisselle et notre domicile, en cuisant aux micro-ondes, en lavant notre linge.

Nous empoisonnons notre organisme avec des métaux lourds et des toxiques en nous soignant préventivement par les vaccins dont les adjuvants contiennent mercure et/ou de l’aluminium. En subissant depuis des générations l’obturation des caries par des amalgames dentaires contenant du mercure et de l’argent, en consommant certains médicaments…

1000 fois plus de métaux lourds dans notre organisme que dans celui de nos ancêtres.
Ces toxiques métalliques qui imprègnent les produits de base de notre alimentation, et qui appartiennent et participent à notre mode et style de vie, sont officiellement supposés ne pas présenter de risques ni poser de problèmes, considérés séparément et aux doses modérées réglementaires. Mais il est inévitable et démontré qu’à terme ces métaux toxiques se cumulent, s’additionnent et interagissent dans l’organisme… Ce que confirme une étude récente sur les squelettes qui montre que la proportion de métaux lourds est de 500 à 1000 fois plus élevée dans les os de l’homme moderne que dans ceux de nos ancêtres ! Quelles sont les mesures à prendre alors. Pas d’autres réponses officielles que l’étude de l’ANSES et des polémiques soigneusement entretenues par les lobbies chimiques ! Bien qu’il ne fasse aucun doute que nous nous trouvons dans le cadre d’une formule mathématique biologique originale, empruntée au « Canard Enchainé »… 0 risque + 0 risque + 0 risque + 0 risque + 0 risque = 5 gros risques de magnitude 5 !!! Et que quelques soient les efforts de l’humanité et de ses gouvernants dans le futur, nous sommes et serons exposés en permanence à la contamination, car si l’eau et l’air peuvent être considérés comme des sources renouvelables, dans les sols les effets des activités humaines seront plus persistants et souvent irréversibles.
En conséquence, notre confrontation aux risques de l’accumulation et de l’addition de ces métaux et autres toxiques dans notre organisme est, sera et restera permanente, tout comme leurs effets toxiques à moyen terme sur les équilibres et mécanismes biologiques.
Il ne fait aucun doute que les pollutions métallo-chimiques et radioactives sont la plus grande menace créée par l’homme contre lui-même, et un problème majeur de santé, risquant même d’obérer dans un avenir encore imprévisible sa pérennité !!!

Les risques pour la santé ? Tout le dictionnaire médical !

Ces agents toxiques, agents de traitement, produits chimiques polluants, de notre environnement et de notre alimentation ont pour la plupart un noyau métallique. Ils se retrouvent généralement au niveau des particules (sauf le mercure qui est principalement gazeux). Ils peuvent affecter le système nerveux, les fonctions rénales, hépatiques, respiratoires, immunitaires… Une corrélation forte a été établie entre la présence de mercure et autres métaux lourds dans l’organisme et les maladies telles que les infections virales, les mycoses, la tuberculose, le cancer, la sclérose en plaques, les maladies auto-immunes, les dérèglements de la glande thyroïde, certains maux de tête, certaines allergies, certains problèmes dermatologiques, pieds et mains froids (symptôme important), suées nocturnes… Des autopsies faites sur une grande quantité de défunts morts du cancer, ont mis en évidence une quantité élevée de mercure au cœur des tumeurs, comparativement aux quantités mesurées dans le reste du corps. L’hypothèse émise que bien des tumeurs s’organisent autour d’un dépôt de métaux lourds se trouve confortée par cette étude. Dans tous les cas il est établi que les métaux lourds sont cofacteurs de développement de tumeurs.
Selon certaines théories, les maladies infectieuses seraient très souvent une tentative du corps pour se défendre contre les métaux lourds, le mercure en particulier, ce qui est avéré particulièrement pour les candidoses. Le système immunitaire conduirait le corps à produire des micro-champignons ayant pour fonction de se lier au mercure pour le neutraliser. En effet le corps se débrouille mieux avec ces micro-champignons qu’avec des dépôts intra ou extra cellulaires.
Un chercheur japonais a trouvé une relation entre les maladies virales et bactériennes et les dépôts de mercure. Il n’y a pas d’herpès sans dépôts de mercure. Tout ceci permet d’appréhender le problème des maladies infectieuses et de leur traitement sous un angle et un jour nouveau. Il est à noter que la médecine utilise du mercure pour aseptiser les plaies et tuer les bactéries (le célèbre mercurochrome) et dans le traitement du tétanos (vaccins) et qu’il a été constaté que les bactéries peuvent devenir plus résistantes en « s’entraînant » avec le mercure… Mais ces effets parasites, à moyen et long terme, sur nos systèmes biologiques et immunitaires, sont souvent méconnus, voire rejetés.
L’effet d’accumulation est nié par l’extrapolation à l’homme de normes et de doses en dessous de laquelle une substance est considérée comme inoffensive. Imposées comme données scientifiques ces normes sont très souvent, en médecine humaine inadéquates et même erronées. Car il est évident et tombe sous le sens, qu’in vivo, sur un organisme considéré dans son intégralité, un polluant n’agit jamais seul et qu’il est essentiel d’envisager d’éventuelles synergies entre les divers polluants (ex. mercure et champs électromagnétiques du téléphone portable par exemple…)

Le seul recours : la chélation

Un des meilleurs moyens est d’utiliser une méthode naturelle et physiologique de détoxication appelée chélation. La chélation est un processus physico-chimique au cours duquel est formé un principe nouveau, entre une molécule dite chélateur et un atome métallique. La chélation est un phénomène naturel fondamental en chimie bio-organique : la plupart des organismes vivants produisent par chélation des protéines spéciales riches en soufre qui contribuent à détoxiquer l’organisme. Chez l’homme, les individus chélatent plus ou moins efficacement selon leur patrimoine génétique. Ceux dont l’organisme ne se détoxique pas assez vite ont plus de risque de développer des maladies neuro-dégénératives (Maladie d’Alzheimer notamment), en particulier en cas d’exposition au mercure inorganique perdu par les plombages dentaires. Chez les personnes génétiquement moins aptes à sa détoxication le mercure augmente quantitativement et ses effets toxiques sont aggravés (maladies cardio-vasculaires, moindre résistance immunitaire). En prenant en compte les phénomènes de sensibilité génétique individuels et les possibilités de détoxication de l’organisme, il ne fait aucun doute que l’apport d’un chélateur alimentaire, s’associant et stimulant la chélation physiologique naturelle, peut s’avérer d’un grand secours et de la meilleure utilité sur le plan de l’efficacité biologique et de la santé.

Eliminer les métaux lourds en deux mois

J’ai eu le plaisir de recevoir au printemps le Pr KIM de l’Université de Kwangju en Corée, une des plus importantes d’Asie. Au cours de nos entretiens furent bien entendu évoqué le problème de la pollution radioactive japonaise et de ses conséquences. Or le Pr Kim a fait sa thèse sur ce sujet et il a même étudié plusieurs années dans un institut spécialisé dans la dépollution radioactive… au Japon. C’est un spécialiste internationalement reconnu du CHITOSAN sur lequel il concentre toutes ses recherches et ses études depuis des années. Ses travaux ont ouvert des horizons nouveaux sur les potentialités de chélation, donc de détoxication des métaux lourds que possèdent certaines formes très particulières de BETA-CHITOSAN obtenu à partir de collagène de calamars ! Ce qui a amené la mise au point d’un produit exclusif : le KITONORM, efficace et parfaitement adapté à la détoxication rapide de l’organisme des polluants métalliques y compris radioactifs. Les principes actifs de KITONORM sont des beta-chitosans, des polysaccharides (fibres alimentaires) spécialement traités et conjugués avec des acides aminés pour donner naissance à des principes alimentaires naturels nouveaux, chélateurs- séquestrant extrêmement puissants. A la différence de la plupart des CHITOSANS proposés par ailleurs, ils sont solubles dans l’eau et donc d’une parfaite biodisponibilité.
Ils manifestent une affinité très prononcée pour les métaux lourds, le mercure en particulier, et les principes radioactifs qu’ils captent et auxquels ils se lient dans l’organisme. Pour constituer des principes nouveaux qui sont facilement éliminés par les voies naturelles (foie, bile, selles, urine) selon le processus de la chélation-détoxication physiologique. Différents test effectués in vitro en laboratoire et in vivo sur l’animal et l’homme ont montré une rapidité d’action et une efficacité nettement améliorée par comparaison à la plupart des chélateurs actuellement utilisés. Une expérimentation animale coréenne, extrapolable à l’homme, montre, que la prise quotidienne de KITONORM en quantité moyenne élimine toutes traces de métaux lourds dans les cellules en 2 mois…

C’est ainsi qu’en 2 à 3 mois, à raison de 3-4 capsules de KITONORM par jour, l’organisme sera libéré de ses entraves toxico-métalliques.
Et les résultats sont sensibles et tangibles au niveau de l’état général.

La chélation-détoxication, aussi bien prévention que traitement

On peut constater une amélioration sensible de certains symptômes en liaison avec les effets des métaux lourds sur le système nerveux central tel que : irritabilité, nervosité, angoisse, mémoire, insomnies, dépression, tremblements, sifflements dans les oreilles, troubles de l’audition, maux de tête, migraines, et autres neuropathies. Les infections mycosiques, infections bactériennes et virales se logent là où se trouvent les dépôts de métaux lourds, l’élimination de ces dépôts stimule et facilite l’éradication infectieuse. On peut espérer un mieux dans toutes sortes de maladies chroniques : maladie de Parkinson, d’Alzheimer, certaines tumeurs et lymphomes.
Dans la sphère cardio-vasculaire, on constate souvent une régularisation des arythmies (due aux dépôts de métaux lourds dans les nerfs commandant l’activité cardiaque), un meilleur contrôle de la pression artérielle et une meilleure régulation de la cholestérolémie. Une étude à long terme effectuée sur plusieurs milliers de patients met en avant une notable atténuation des problèmes de pression sanguine et une appréciable tendance à la normalisation du taux de cholestérol après quelques mois de traitement par un chélateur du type KITONORM.
Les propriétés d’absorption de graisse et l’action réductrice du taux de LDL Cholestérol de certaines formes de Chitosan (similaire au KITONORM) viennent d’être officiellement reconnues par l’EFSA, l’autorité sanitaire alimentaire européenne. Ces vertus font du KITONORM un produit de base pour la régulation des lipides sanguins et corporels. On a découvert que le KITONORM est susceptible de nettoyer les vaisseaux sanguins en mobilisant le mercure, important facteur d’athérome.
Plus largement, un grand nombre de problèmes trouve solution, correction, amélioration dans une éradication des métaux lourds. Entre autres la fatigue générale, les problèmes de poids et d’obésité (bien des capitons fondent aisément quand leurs adipocytes sont libérés des métaux lourds, à l’inverse bien des kilos sont gagnés à cause de l’impact des toxiques sur les mêmes adipocytes)… Enfin la grande affinité pour les graisses et les métaux lourds de KITONORM, son action réductrice du LDL en font un complément alimentaire de choix pour la normalisation de la cholestérolémie. Cette action est optimisée par le HAN-HEPA qui ajoute à la baisse du LDL cholestérol un accroissement notable du HDL cholestérol. Je crois sincèrement que toute personne souffrant d’une cholestérolémie perturbée devrait tester pendant 3 mois le KITONORM seul ou mieux en association avec HANSLIMAX si elle est en surpoids ou HAN-HEPA dans les autres cas…
S’il y a vraiment quelque chose à retenir de cette lettre verte c’est qu’aujourd’hui il y a urgence dans la prévention anti-métaux toxiques car ce ne sont pas quelques métaux lourds qui menacent mais des milliers de particules de nature métallique qui nous colonisent. Que chaque individu, malade ou bien portant (en apparence) devrait prendre du KITONORM au moins une fois par an, tous les jours pendant 2 à 3 mois la première fois et un mois par an les années suivantes ! Car le KITONORM démontre à bref délai une augmentation intéressante de la quantité de métaux lourds évacués dans les selles et les urines. Que quelques semaines par an de KITONORM apparaissent comme une prévention pour circonscrire l’action de ces métaux toxiques et contaminants auxquels nous sommes inévitablement et en permanence exposés. Cela permettra d’éviter que les doses officiellement tolérées et réputées sans danger ne s’accumulent et s’additionnent et deviennent sérieusement perturbatrices de nos systèmes biologiques sources d’invalidité et d’affections graves. Cela permettra à la plupart d’entre nous d’améliorer sensiblement leur état général et leur bien-être. Il appartient à chacun d’entre nous d’assurer et de garantir la meilleure fonctionnalité possible à notre biologie, en réduisant les risques de perversions physiologiques et d’agressions virales, bactériennes, mycosiques liés à notre environnement chimique actuel.
Du fait de ses remarquables propriétés KITONORM répond parfaitement à cet objectif.

Dr Jean-Pierre WILLEM