Conserver une mobilité articulaire aisée et sans entraves est possible à tous les âges de la vie.

Avec l’âge qui avance, la réalisation de cette faculté, composante incontournable de la qualité de vie, apparaît compromise pour la majorité des individus dépassant la cinquantaine ! Pourtant, les maux articulaires ne sont pas une fatalité irréversible et irrémédiable liée à la progression de l’âge, comme on l’a longtemps cru !
Aujourd’hui, il existe des solutions naturelles, qui ont démontré leur pouvoir de réparation et de rénovation des articulations malmenées par l’âge, la maladie, les traumatismes ou les accidents…


Se déplacer avec aisance et sans peine, se mouvoir facilement et sans douleurs, bouger sans souffrances sont des éléments essentiels du confort de vie. Dès l’âge de 50 ans plus de la moitié des Européens voient ces facultés se réduire, proportion qui atteint 80% après 70 ans. Avec l’âge qui avance les hommes et plus encore les femmes se trouvent confrontés progressivement à des difficultés et à une pénibilité plus ou moins grand dans l’exercice de leurs mouvements !
Les problèmes articulaires sont les plus précoces, les plus fréquents, les plus répandus et les plus oppressifs des facteurs invalidants contribuant à réduire et à restreindre la qualité d’une longévité de plus en plus augmentée ! Principalement concernées sont les douleurs et les rigidités liées à la dégradation plus ou moins progressive des cartilages, caractéristique entre autres de l’arthrose sous toutes ses formes et de l’arthrite : une pénible composante inflammatoire. Les images radiologiques montrent que l’arthrose de la colonne vertébrale touche 85 % des hommes et 75 % des femmes de plus de 50 ans, souvent avec peu de symptômes avant que le « mal de dos », le mal du siècle, celui qui touche ou touchera 80% des Français, ne se manifeste. Autre arthrose fréquente et douloureuse celle des mains. Elle touche surtout les femmes et son caractère héréditaire et familial est prédominant. Les autres arthroses pénibles et répandues sont celle du genou (le tiers des plus de 60 ans) et celle de la hanche. Caractérisées par la douleur, mécanique et diurne et la difficulté d´effectuer des mouvements articulaires, les arthroses témoignent d’une dégénérescence du cartilage de certaines articulations. Cette dégénérescence conduit à une destruction plus ou moins rapide du cartilage qui enrobe l’extrémité des os.

Qu’est ce que le cartilage

Le cartilage constitue la pièce essentielle de l’articulation.
Il recouvre les extrémités osseuses et constitue une sorte de film protecteur de l’articulation. Le cartilage joue en quelque sorte le rôle d’un roulement à billes et d’un amortisseur entre les extrémités osseuses, accompagnant tous les efforts et les mouvements du corps. Il permet le glissement des os et des vertèbres sans difficultés ni douleurs et possède une extraordinaire capacité d’adoucissement des contraintes mécaniques lors des mouvements.
Le cartilage est composé de différents éléments qui sont en premier lieu les cellules du cartilage, appelées chondrocytes qui sont séparées par une matrice extra-cellulaire, essentiellement composée de collagène et de protéoglycanes (des polysaccharides qui retiennent facilement l’eau). Les fibres de collagènes forment l’armature de cette matrice du cartilage (à la manière des poutrelles d’un bâtiment). Ces fibres enserrent les protéoglycanes qui sont des macromolécules faisant office d’éponge, dont l’élément de base est la glucosamine qui a pour rôle la captation d’eau afin de servir d’amortisseur.
La forte teneur en eau dans le cartilage contribue grandement aux propriétés mécaniques d’amortissement.
Le cartilage articulaire n’est pas un tissu inerte : il est le siège d’une intense activité. Si les cellules spécialisées, les chondrocytes se régénèrent peu, elles entretiennent une activité de synthèse et de formation de protéoglycanes et de collagène au sein de la matrice cartilagineuse, assurant en permanence un renouvellement du cartilage. Elles assurent aussi le recyclage des déchets induits par cette régénération permanente. En effet, les fragments et débris anciens de cartilage sont régulièrement largués au sein de la cavité articulaire que la membrane synoviale se charge d’évacuer.

La qualité du cartilage: un équilibre fragile

Le cartilage est donc un tissu vivant qui se renouvelle perpétuellement même chez les personnes très âgées.
Chez le sujet jeune, une atteinte du cartilage est totalement réversible grâce aux capacités de cicatrisation des lésions.
À partir d’un certain âge, en particulier si ces lésions commencent à être importantes, l’organisme aura du mal à les réparer car le cartilage des articulations n’est ni innervé ni vascularisé. Elles vont alors évoluer vers une aggravation, c’est-à-dire une perte de plus en plus importante de cartilage qui ne s’inversera plus spontanément sans un apport extérieur !
Notre capital cartilagineux est soumis au cours de la vie à des traumatismes divers (professionnels, sportifs, posturaux) ainsi qu’à diverses pathologies inflammatoires (arthrites) qui auront pour conséquences à plus ou moins long terme sa dégradation, sa détérioration sa destruction aboutissant à l’affection articulaire la plus courante et la plus répandue : l’arthrose.

L’arthrose : un déséquilibre dans la genèse du cartilage

Pendant longtemps, le corps médical a considéré l’arthrose comme une simple usure du cartilage, liée au vieillissement de l’articulation. Depuis quelques années, on sait que les causes de l’arthrose sont plus complexes. L’arthrose est une maladie dégénérative articulaire, d’évolution chronique, qui conduit à une destruction cartilagineuse progressive. Contrairement aux nombreuses idées reçues, l’arthrose ne répond pas à un phénomène d’usure du tissu cartilagineux, mais à une modification de l’équilibre cellulaire de ce dernier. Comme le cartilage est un tissu vivant qui se remanie en permanence, son renouvellement répond à une série de réactions qui associent : dégradation des tissus altérés d’une part, et synthèse de nouveau cartilage d’autre part. L’arthrose apparaît dès lors qu’il existe un déséquilibre entre ces deux phases. Une fois l’affection enclenchée, le déséquilibre entre la destruction du cartilage et sa formation qui en résulte, aboutit progressivement à une détérioration du cartilage. Au début des affections arthrosiques, le processus de destruction qu’elles initient s’effectue parallèlement au processus de formation, mais la qualité du cartilage formé se dégrade, la surface du cartilage se fissure et s’effrite. Ce déséquilibre peut porter à la fois sur la quantité, moins de tissu formé que détruit, et sur la qualité, le tissu nouvellement formé résistant moins bien aux contraintes mécaniques articulaires.
Lorsque les phénomènes de destruction l’emportent sur la régénérescence cartilagineuse, le cartilage diminue d’épaisseur pour finir par disparaître complètement et l’articulation s’altère définitivement! Destruction et formation du cartilage restent concomitantes jusqu’à l’amenuisement total du cartilage. Au cours de la destruction cartilagineuse, de petits morceaux de cartilage peuvent se détacher et « flotter » dans la poche articulaire : ils y déclenchent alors des poussées inflammatoires mécaniques qui se traduisent par une hypersécrétion de liquide et par un gonflement de l’articulation.
Nos animaux de compagnie souffrent eux aussi fréquemment d’arthrose : l’arthrose des chiens, des chats (20 % des chiens de plus de 1 an sont déjà touchés par l’arthrose) et l’arthrose du cheval sont très répandues et constituent une pathologie très handicapante pour leur vitalité.
Certaines arthroses sont très rapidement évolutives, alors que d’autres sont très lentes à se développer. L’évolution de la maladie arthrosique se fait vers l’aggravation progressive et le blocage articulaire. Les lésions arthrosiques sont réputées irréversibles et aboutissent, outre les déformations, à un raidissement articulaire évoluant vers une impotence partielle.

Origine et conséquences de ce déséquilibre

À l’origine de ce déséquilibre interviennent de nombreux facteurs souvent encore mal connus. Le facteur génétique de l’affection semble important. Il existe des familles d’arthrosiques du genou, de la hanche et de la main. La maladie atteint plus fréquemment les femmes que les hommes. Ce déséquilibre et sa conséquence : la destruction progressive du cartilage peut être initiée par une fissuration du tissu cartilagineux liée à des phénomènes mécaniques tels des traumatismes locaux importants ou faibles à répétition (sports, travaux pénibles, mauvaises postures de travail).
Il est également favorisé par des altérations biochimiques de la structure du cartilage liées à l’âge, au poids, à la ménopause, ainsi qu’à d’autres maladies osseuses ou articulaires localisées (séquelles d’arthrites, ou de fractures).
Les signes de l’affection arthrosique varient selon l’articulation concernée mais la douleur est la manifestation principale et commune. Elle est, en principe, dite de type « mécanique » car elle présente les caractéristiques suivantes : elle est déclenchée et aggravée par le mouvement, elle cesse ou s’atténue plus ou moins complètement lorsque l’articulation est au repos.
Le processus arthrosique est réputé incurable, évoluant plus ou moins vite mais inexorablement vers un handicap articulaire et seuls ses symptômes douloureux sont pris en charge par la médecine.

Une évolution favorable de l’arthrose est possible

L’arthrose est-elle donc cette fatalité qu’il faut subir, en recourant à l’aspirine, aux anti-inflammatoires et autres infiltrations ou interventions chirurgicales… ?
Non, il est possible d’agir et de réagir. Plus ou moins bien, le cartilage d’une articulation demeure vivant, se nourrit et se régénère sur une période de 3 mois même chez les plus âgés. Cette évolution arthrosique n’apparaît donc pas inéluctable et elle est susceptible d’être inversée si on prend soin de bien alimenter et entretenir la matrice cartilagineuse, gérante de la qualité du cartilage. Prise en charge avant l’apparition des troubles mécaniques, l’arthrose sera prévenue et jugulée. Si elle est déjà douloureusement installée elle sera grandement soulagée, fortement améliorée, voire éradiquée.
Il a été établi que l’apport de principes nutritionnels ciblés exerce une action correctrice sur la physiologie de la matrice cartilagineuse et plus en aval sur l’état du cartilage et de l’articulation. Ce que même l’Académie de Médecine conseille de privilégier, plutôt que l’administration de médicaments qui ne font que soulager les symptômes.

Un remède efficace et naturel

Le traitement de l’arthrose repose donc principalement sur des remèdes non médicamenteux.
Deux facteurs sont cruciaux dans les problèmes articulaires de type arthrosiques : la détérioration progressive des cartilages et la douleur qui s’installe tout aussi progressivement.
Des chercheurs d’une des plus prestigieuses universités coréennes ont réalisé une combinaison de principes nutritionnels qui stimulent le potentiel de synthèse des chondrocytes, régénérant et rééquilibrant les processus de formation et de destruction des principes constitutifs du cartilage. Ces principes rétablissent les qualités physiologiques de la matrice cartilagineuse tout en luttant contre l’inflammation et la douleur. Cette combinaison est à la base d’un complément alimentaire original et exclusif : le CARTILAN PLUS alliant un complexe breveté de fibres issues de la pectine de pomme, d’algues marines et de chitine extraite de carapaces de crustacés avec de la glucosamine associée à un extrait du péricarpe du fruit de mangoustan.

Le CARTILAN PLUS est l’anti-arthrosique adapté à un traitement de fond de la douleur et du processus de la dégradation du cartilage. Les trois grands complexes qu’il associe agissent en synergie et de façon complémentaire car ils disposent chacun de propriétés spécifiques :

– Le complexe breveté de fibres solubles amalgamant des principes obtenus à partir de pectine de pomme, d’algues marines et de chitine extraites de carapaces de crabes.
Ce complexe a démontré biologiquement sur l’animal et cliniquement sur l’homme d’importantes propriétés de stimulation et de régularisation de l’activité des chondrocytes, les cellules spécialisées du cartilage, et du fonctionnement de la matrice cartilagineuse. De ce fait, il rééquilibre, stimule et régénère l’expression physiologique des éléments constitutifs du cartilage, en particulier du collagène articulaire (type 2) spécifique de la structuration du cartilage, ce que ne fait aucun autre principe disponible sur le marché actuellement.

Cette propriété est la clé dans la correction des articulations arthrosiques. Car dans les pathologies ostéo-articulaires comme l’arthrose, la dégradation du cartilage s’accompagne d’une déperdition importante de collagène, d’une rupture du filet collagénique provoquant une hyperhydratation, une plus grande expansion des protéoglycans et d´une désorganisation du tissu articulaire.
Par ailleurs il active et amplifie la synthèse des protéoglicanes de l’ordre de 20 à 30% ce qui a pour effet de rendre progressivement à la matrice cartilagineuse une bonne organisation physiologique contribuant ainsi à la réparation du cartilage et à un retour fonctionnel aisé de l’articulation.

– La glucosamine est obtenue à partir de chitine extraite de carapace de crustacés. Les chondrocytes (cellules du cartilage) fabriquent des protéoglycanes avec de la glucosamine qu’elles synthétisent au terme de plusieurs réactions biochimiques à partir du glucose des aliments. Mais dans l’arthrose, les chondrocytes, même bien alimentés en glucose ne parviennent plus à accomplir correctement leur tâche.
Différents tests ont établi que la production de protéoglycanes était stimulée et que le métabolisme du cartilage tendait à se normaliser lorsqu’on apportait directement aux chondrocytes de la glucosamine par voie orale. Par ailleurs de nombreuses études ont montré l’efficacité de la glucosamine pour amoindrir la douleur et réduire l’inflammation.

– L’extrait de péricarpe du fruit de Mangoustan est caractérisé par la présence importante de polyphénols et xanthones uniques dans leur genre. Alliés à la glucosamine ces principes végétaux ont démontré des propriétés remarquables pour contrer la douleur et l’inflammation ! Comparée cliniquement à certains antalgiques (Ibuprofen…) et autres anti-inflammatoires (corticostéroïdes) son action s’est révélée quasiment aussi efficace sans aucun des effets secondaires des produits de ce type. Ces essais cliniques sur les humains et sur les animaux ont permis de mettre en évidence une réduction des peines et des douleurs en quelques jours et une diminution significative des médiateurs inflammatoires !
L’association de ces trois complexes dans le CARTILAN PLUS exerce un effet particulièrement salutaire sur le cartilage : non seulement ce dernier ne dégénère plus, mais du cartilage neuf est reconstruit à partir des cellules de cartilage encore présentes.
CARTILAN PLUS réduit à bref délai la douleur et l’inflammation et permet avec le temps de réparer la matrice cartilagineuse et de lui rendre en grande partie son efficience physiologique.
Différentes évaluations cliniques, menées sur l’animal et sur l’homme ont montré une réduction importante de la douleur en 2 à 3 semaines initiant une amélioration du fonctionnement articulaire. Ce bénéfice à court terme est prolongé par une quasi-disparition des maux et une normalisation fonctionnelle après une prise plus ou moins prolongée selon l’âge et l’état du cartilage au début du traitement. Les images radiographiques montrent une amélioration de l’état du cartilage dans une majorité des cas au bout de 6 à 9 mois de prise régulière… ce qui est tout à fait exceptionnel pour un complément alimentaire. Le résultat le plus probant est obtenu en maintenant une consommation quotidienne pendant une ou plusieurs périodes de trois mois (cycle de régénération du cartilage, constant quel que soit l’âge) afin de permettre au cartilage de retrouver progressivement une bonne conformation et à l’articulation de maintenir ou de retrouver mobilité et fonctionnalité optimales.
Afin de conserver les résultats acquis il faut penser à renouveler chaque année un cycle de 3 mois .
En résumé, pour contrer le processus et les conséquences de l’arthrose, le CARTILAN PLUS est un des rares, sinon le seul, produit présent sur le marché à assurer corrélativement trois actions clés : une importante atténuation de la douleur dès les deux premières semaines de prise. Puis à terme de quelques semaines un rééquilibrage du métabolisme des chondrocytes dans leurs activités de synthèse et de recyclage des déchets. Enfin, après un délai variable selon l’âge, l’ampleur et la gravité du dommage, une réparation des cartilages grâce à une régénération métabolique démontrée de la matrice cartilagineuse.
Il semble notable et intéressant de souligner que le CARTILAN PLUS, en influençant le métabolisme de la matrice cartilagineuse, apparaît comme un traitement de fond de la genèse du cartilage. Les sportifs pratiquant un sport intense, en particulier ceux de haut niveau, les quadras, les quinquagénaires (et au-delà plus encore, bien sûr), les professionnels exposés (agriculteurs, conducteurs routiers, représentants, danseurs…) seraient plus qu’avisés en faisant une ou deux fois par an une cure de 3 mois de CARTILAN PLUS pour sauvegarder de bonnes articulations.

Dr Jean-Pierre WILLEM