Il y a graisse et graisse dans les tissus adipeux qui tapissent l’organisme… la brune bénéfique, la bonne blanche et la viscérale maléfique !

Les graisses stockées dans l’organisme, même en excès, ne sont pas toutes nocives… bien au contraire, il a été établi paradoxalement que certaines sont hautement profitables et protectrices pour l’organisme. D’autres graisses présentes dans l’organisme, même en faible quantité, sont, elles, fortement pathogènes, nocives et source de troubles métaboliques susceptibles de nuire gravement à la qualité de vie, à la santé et à la longévité.


A terme, votre « brioche » aura votre peau. Avec la progression de l’âge, la plupart d’entre nous accumulent à des degrés divers des graisses dans l’organisme ! Que cette accumulation soit discrète ou pléthorique, ces graisses existent et elles affichent un degré de nuisance ou de bénéfices selon leur importance, leur localisation et leur qualité ! Limiter, réduire, diminuer les mauvaises graisses revient à favoriser l’activité des bonnes !… Les graisses abdominales sont toujours présentes même chez les minces, et bien plus chez les enrobés en surpoids léger, ou tutoyant l’obésité. Ce sont elles nos graisses maléfiques, qui produisent un grand nombre de substances inflammatoires et d’hormones responsables de maladies graves comme le diabète, les maladies cardio-vasculaires, les maladies neuro-dégénératives ou le cancer. Il est donc primordial de contrôler la graisse viscérale, cette gangue lipidique abdominale cachée qui est un adversaire redoutable pour notre santé, notre longévité et notre bien-être. Il est de notre meilleur intérêt, de réduire, de faire fondre, avant qu’il ne soit trop tard, ce tissu graisseux invisible avec des substances naturellement « mangeuses » de graisse faisant office d’efficace anti-gangue lipidique abdominale !

L’épidémie d’obésité et de surpoids qui frappe notre civilisation résulte du déséquilibre entre activité physique insuffisante et alimentation industrielle trop calorique, déséquilibrée, nous le savons. L’OMS estime qu’en 2015, il y aura 2,3 milliards d’individus en surpoids et 700 millions d’obèses dans le monde. Mais encore plus que le surpoids, nombre de médecins et chercheurs dénoncent le rôle délétère que jouent les graisses abdominales. Les graisses abdominales, celles stockées à l’intérieur du ventre, sont une maladie en soi. Du fait de leur nature inflammatoire et perturbatrice endocrinienne, les graisses abdominales sont à l’origine de maladies graves telles que le diabète, l’athérosclérose, l’hypertension, les cardiopathies, la maladie d’Alzheimer ou certains cancers.
On sait aussi que les hommes en excès de graisse viscérale courent un risque accru de déclarer un cancer de la prostate, et un risque encore plus accru de développer un cancer du côlon. Chez les femmes, cet excédent favorise les récidives de cancer du sein et, dans tous les cas, nuit à l’efficacité des traitements !

Les graisses intra-abdominales se forment en raison d’un déséquilibre entre les apports énergétiques trop importants et des dépenses insuffisantes, ainsi qu’en raison du déclin physiologique avec l’âge des hormones sexuelles (testostérone et œstrogène). L’alimentation occidentale moderne est trop riche en graisses et en sucres, alors que notre de vie est plutôt sédentaire. L’excès de calories qui n’est pas dépensé par des activités physiques est stocké sous forme de graisses, et le premier endroit où elles se fixent, c’est au niveau de l’abdomen.
En Europe nous absorbons, en moyenne, deux fois à deux fois et demi plus de calories que ce que nous devrions.

La graisse intra-abdominale : un cadeau de la nature qui évolue mal !

Pour faire face aux périodes de disette fréquentes dans le passé, l’organisme humain a donc appris à stocker de l’énergie sous forme de graisse. Il a appris à faire du gras, comme le font les animaux sauvages en période faste en prévision des périodes moins fastes. Il a appris à traiter la pénurie mais ne s’est pas (encore) adapté à l’excès. Aujourd’hui, la grande majorité des citadins passent leur temps assis au bureau, devant un ordinateur, se déplacent en voiture, en métro, en ascenseur et trouvent leur nourriture en abondance dans les supermarchés. Et la machine a remplacé l’homme pour les tâches les plus pénibles ! Mais notre organisme est resté adapté à l’effort et à la pénurie et demeure donc en mode de « stockage ».

La graisse intra-abdominale : un cadeau « empoisonné » de l’âge.

Il est clairement établi que la graisse viscérale est en interdépendance et en interrelation avec les sécrétions du système endocrinien, masculin ou féminin.
Il suffit de constater que c’est surtout après la ménopause et l’andropause, en association avec la baisse du taux d’œstrogène et de testostérone, que la graisse viscérale connait son principal essor et son meilleur développement.
Plus encore la graisse abdominale génère des principes (cortisol) qui inhibent l’action des hormones sexuelles, créant et accélérant un cercle vicieux qui se répercute sur l’ensemble du corps, favorisant l’atrophie musculaire, la baisse de libido, l’hypertrophie de la prostate, les cancers du sein et de l’appareil génital féminin et… l’accroissement des tissus adipeux !

« Le TAV… Tissu Adipeux Viscéral », source des maladies de notre temps.

Le tissu adipeux a longtemps été considéré comme un simple organe de stockage et de régulation de l’énergie. En relation avec l’apport énergétique alimentaire, les cellules adipeuses se chargent de graisses sous forme de triglycérides, qui sont utilisés pour fournir de l’énergie en fonction des nécessités de l’organisme. En cas de besoin, les triglycérides en réserve sont scindés en acides gras et utilisés dans le foie pour fabriquer le glucose nécessaire au fonctionnement des organes. Mais en cas de présence trop importante de graisses abdominales, les acides gras sont libérés en trop grand nombre dans la circulation sanguine et constituent, par exemple un des facteurs de résistance à l’insuline qui débouche sur l’apparition du diabète de type 2, le plus répandu.
A côté de cette fonction de stockage, on sait depuis peu que le tissu adipeux abdominal exerce une autre fonction, tout aussi importante, en participant aux défenses immunitaires. Cette fonction est assurée par l’intermédiaire de deux acteurs, d’une part les macrophages (les globules blancs), qui sécrètent des substances inflammatoires toxiques pour les microbes et pour les cellules de notre corps, présents en abondance dans les cellules adipeuses. Et d’autre part les cellules graisseuses elles-mêmes, les adipocytes, qui loin d’être de simples boules de graisses, sont de véritables glandes qui sécrètent différentes substances de type protéines : les adipokines. Ce sont des cytokines (messagers similaires aux hormones) qui interviennent à différents niveaux de la biologie immunitaire et cellulaire. Elles peuvent favoriser ou combattre les phénomènes inflammatoires. Elles peuvent réguler la masse grasse et le métabolisme cellulaire dans le sens d’un rôle protecteur vis à vis de l’obésité, du diabète 2 et de leurs conséquences pathologiques. Ou au contraire dans le sens d’un rôle délétère favorisant la prise de poids, la résistance cellulaire à l’insuline, le diabète et l’obésité. Ainsi, en quantité et qualité adaptée à l’organisme, les graisses jouent un rôle sain et protecteur, mal réparties et mal localisées, elles ruinent l’organisme.

Une usine à produire des hormones.

Les cellules graisseuses accumulées autour de l’abdomen produisent des hormones parmi lesquelles on retrouve notamment la Leptine. Cette hormone est chargée d’envoyer à l’hypothalamus, une glande qui contrôle nombre de fonctions vitales, le signal inverse de la sensation de faim : elle indique au cerveau qu’il faut cesser de manger. Or, chez les personnes en surpoids, le message ne passe plus. En outre, la leptine perturbe l’assimilation du glucose et participe au mécanisme de résistance à l’insuline. Enfin, elle joue un rôle pro activateur des globules blancs et des substances pro-inflammatoires.

La graisse abdominale source d’inflammation généralisée.

La graisse abdominale, ou dite viscérale celle qui entoure les viscères abdominales, est impliquée au premier chef dans les états inflammatoires chroniques et dans les dérèglements hormonaux sources de pathologies aussi diverses que graves. Le rôle péjoratif de la graisse abdominale, reconnu dès 1947 par le professeur Jean VARGUE de Marseille, a été confirmé par plusieurs études ayant inclus des milliers de patients. Elles ont établi une corrélation forte entre l’épaisseur de la graisse abdominale viscérale et une sur-concentration des marqueurs de l’inflammation. Ce qui confirme que la graisse abdominale entretient l’inflammation chronique, principal facteur à la base du diabète, des maladies cardio-vasculaires, neuro-dégénératives et de certains cancers. Par exemple, traiter le cholestérol sans effort pour contrôler l’étendue de la graisse abdominale mais pour prévenir les pathologies cardiovasculaires et l’athérosclérose est vain.

Prendre ses mesures pour prendre de bonnes résolutions : La mesure du périmètre abdominal. 

La mesure du périmètre abdominal se prend tout simplement en se passant le mètre autour du ventre, à hauteur du nombril et en expiration. La normale est de 85 à 90 centimètres chez les femmes et de 93 à 100 centimètres chez les hommes. Le périmètre abdominal est révélateur par exemple des futures maladies cardio-vasculaires. Vous cernerez ainsi un peu l’ampleur de votre exposition à un risque majeur d’infarctus ou de survenue de maladies graves!

Une nuance capitale : il existe deux types de graisse abdominale.

D’une part, la graisse abdominale sous-cutanée, c’est la graisse qui se trouve juste sous la peau et au-dessus des muscles abdominaux. Vous pouvez la palper facilement et en évaluer la quantité avec la méthode des plis sous-cutanés. C’est elle qui forme les bourrelets disgracieux mais, peu nocive, elle peut même être protectrice ! C’est la graisse abdominale la plus difficile à éliminer, car moins irriguée en vaisseaux sanguins, elle est moins sensible aux catécholamines (adrénaline, noradrénaline) qui permettent de puiser dans les réserves de graisse.
D’autre part, la graisse viscérale, si votre ventre quel que soit son volume est dur en surface, votre graisse est plutôt viscérale. Cette graisse se situe sous les muscles et n’est pas palpable au toucher. C’est le type de graisse corporelle le plus nocif pour votre santé. Une étude de la European Society of Cardiology a d’ailleurs prouvé que les personnes présentant un Indice de Masse Corporelle normal mais ayant une grande quantité de graisse viscérale avaient beaucoup plus de risques de mortalité pour raisons cardiovasculaires que des personnes obèses présentant un ratio taille / hanche moins élevé.
La bonne nouvelle, c’est que la graisse viscérale est plus facile à éliminer que la graisse sous-cutanée et sera donc la première brulée. Plus irriguée en vaisseaux sanguins, elle est plus sensible aux molécules « brûleuses de graisse » et comprend un plus grand nombre de récepteurs bêta-adrénergiques, qui favorisent l’utilisation des graisses pour créer de l’énergie.

L’éventail des catastrophes liées à la graisse intra-abdominale est large.

Les graisses abdominales ont un spectre d’action délétère très impressionnant sur la santé, et peu se doutent que la « petite bedaine » puisse à terme les envoyer au cimetière. Voici un échantillon documenté des conséquences des graisses abdominales sur la santé :

Graisse viscérale et cancer.

Le risque de cancer augmente vraiment avec la surcharge de graisse abdominale. Cela a été montré à plusieurs reprises et notamment bien étudié pour les cancers digestifs. Ainsi, en cas d’obésité avérée ou seulement de surpoids, le risque de mortalité par cancer du foie est multiplié par 4,52, celui de cancer du pancréas par 2,61, par 1,91 pour le cancer de l’oesophage et 1,84 pour le cancer du côlon et du rectum. La graisse abdominale accroît aussi la gravité des cancers. Ou, pour être tout à fait précis, la surcharge graisseuse abdominale et le diabète de type 2 qu’elle induit, augmentent la gravité des cancers et peuvent même diminuer l’efficacité des traitements selon différents mécanismes identifiés.

Graisse viscérale et maladies cardiovasculaires.

Un excès de graisse localisé au niveau de l’abdomen constitue également un risque cardiovasculaire majeur. La présence diffuse ou importante de graisses abdominales expose à diverses pathologies du coeur comme : l’angine de poitrine, l’infarctus du myocarde, la fibrillation auriculaire, l’insuffisance cardiaque, l’accident vasculaire cérébral, etc. Ce qui rend particulièrement pathogène le tissu adipeux intra abdominal, c’est sa répartition anormale dans des sites non souhaitables dits « ectopiques » : graisse envahissant et enveloppant certains organes tels intestins, foie, coeur…

Graisse viscérale, démence et maladie d’Alzheimer.

Selon une étude américaine publiée dans la revue NEUROLOGY : Une graisse viscérale augmentée au milieu de la vie accroît le risque de développer plus tard la démence (dont la maladie d’Alzheimer est la forme la plus fréquente). Dans les cas de démence et de maladie d’Alzheimer les chercheurs ont établi un lien entre les molécules libérées par les graisses corporelles et les dommages subis par le cerveau. Les personnes ayant le plus de graisses abdominales avaient 20 fois plus de risques de développer la démence que celles ayant moins de graisses.

Brûler les graisses abdominales tout naturellement.

Une minutieuse recherche des meilleurs principes actifs naturels pouvant, à la fois, stopper les effets négatifs des protéines inflammatoires et les effets perturbateurs hormonaux dus à la graisse abdominale, a permis à HANBIOTECH de mettre au point un complexe de principes actifs, nommé ABDONORM, capable de prendre en compte tous les aspects du problème, en particulier celui de l’élimination des excès de graisse accumulés à l’intérieur du ventre. Maintenir ces graisses sous contrôle c’est lutter contre le surpoids en général et c’est une prévention clé contre les maladies métaboliques, cardio-vasculaires et dégénératives qui se multiplient avec l’âge.

Citron, Kaki, Mélisse, Estragon, Thé vert : les armes anti-graisse.

ABDONORM est une combinaison particulière, unique et exclusive de principes végétaux d´une part, extraits de plantes (mélisse, mûrier blanc et estragon) fort bien connues pour leur action sur la digestion et la circulation et d’autre part de principes extraits de légumes et de fruits en particulier d’agrumes (citron) qui ont démontré une action efficiente de mobilisation des lipides du tissu adipeux intra-abdominal et des propriétés stimulantes et protectrices du foie.
Traditionnellement, la mélisse est incorporée à des préparations d’herboristerie destinées à faciliter la digestion. L’Eau de mélisse des Carmes, créée en 1611 par les religieux du Carmel de la rue Vaugirard à Paris est restée célèbre.
Outre ses vertus digestives, les extraits du « complexe mélisse, mûrier blanc et estragon », sont particulièrement riches en antioxydants et en principes régulant la circulation. Ces derniers réduisent les dommages causés par les radicaux libres dans le corps et assurent un meilleur contrôle de l’irrigation du tissu adipeux facteur clé de son expansion ou de sa réduction ! Les diverses variétés d’agrumes utilisées renferment une grande quantité de principes appelés polyphénols et flavonoïdes. Ces composés antioxydants permettent, entre autres, de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques…De nombreux travaux cliniques ont démontré que ces principes étaient efficaces pour diminuer les taux de cholestérol sanguin et hépatique mais surtout pour stimuler le corps à mobiliser et à brûler ses graisses accumulées autour de l’abdomen.
Enfin, les principes extraits du thé vert et des autres fruits et légumes ont démontré cliniquement leur aptitude à stimuler l’activité hépatique, à protéger le foie contre l’invasion graisseuse et à réguler les lipides sanguins.
Les extraits utilisés dans ABDONORM sont spécifiques et standardisés et leur contenu en principes actifs ajustés aux buts physiologiques recherchés : contrôler l’irrigation du tissu adipeux viscéral, libérer et mobiliser ses réserves lipidiques et stimuler les fonctions hépatiques de métabolisation des graisses libérées.

Tests cliniques : perdre 4cm de tour de taille.

Des tests cliniques ont montré tant chez l’animal que chez l’homme une diminution tangible, mesurée électroniquement, de la quantité de graisse abdominale ainsi qu’une augmentation de la masse musculaire. Dans le cadre d’un test n’imposant ni régime alimentaire ni exercice physique, une diminution de l’ordre de 3 à 4 cm du tour de taille en 3 mois a pu être constatée ! Alors avec un peu de marche et une diététique un peu plus rigoureuse les résultats devraient être encore bien plus amplifiés. Une autre expérimentation a montré que les principes actifs contenus dans les citrons, notamment les polyphénols, étaient capables de stimuler la combustion des graisses abdominales et ainsi de réduire naturellement leur volume. Enfin une dernière expérience a montré que les principes extraits du kaki et du lycium (Goji) stimulaient et amélioraient sensiblement l’activité hépatique.
ABDONORM c’est le brûleur de graisse naturel réellement capable de vous aider à perdre de la graisse abdominale. De façon plus générale, tous ces travaux cliniques ont démontré qu’ABDONORM était en mesure d’induire une réduction des graisses intra-abdominales et du tour de taille et ce pratiquement sans rencontrer d’échec! Et que parallèlement ABDONORM suscite un gain en masse musculaire, provoque une diminution des marqueurs de l’inflammation (protéine C réactive), détermine une diminution des lipides dans le sang et dans les adipocytes, et contribue à la réduction de la résistance à l’insuline.

De 6 à 9 comprimés par jour, à raison de 2-3 comprimés avant chaque repas.

Docteur Jean Pierre WILLEM