Retrouver les artères de ses 20 ans et le cœur qui va avec !

Première cause de mortalité dans les pays industrialisés, les maladies cardio-vasculaires sont le fléau de notre temps. Sans réelle solution médicale sinon une médication à très longue durée, les maladies des artères et du cœur sont au centre des préoccupations des plus de cinquante ans. Outre une hygiène de vie appropriée, des solutions naturelles performantes pour un regain de souplesse vasculaire existent. Retrouver les artères et le cœur de ses vingt ans est maintenant à portée de main.


Les maladies cardio-vasculaires sont la première cause d’hospitalisation dans les pays occidentaux développés et ne cessent d’augmenter, même si leur taux de mortalité baisse. Les causes des maladies du cœur et des artères sont pourtant bien connues : vieillissement de la population, alimentation déséquilibrée, sédentarité, obésité, diabète, hypertension, tabagisme, terrain génétique défavorable. A l’heure actuelle, il est estimé qu’en France, 150 à 180 000 personnes décèdent chaque année de pathologies liées à la sphère cardiaque. Si rien n’est fait, l’OMS prévoit une hausse de 50% du nombre de cas d’insuffisance cardiaque et d’infarctus au cours des 25 prochaines années. Accompagnés, dans la plupart des cas, d’invalidation plus ou moins importante et de l’instauration de thérapies permanentes, contraignantes et parfois éprouvantes, jamais anodines. C’est pourquoi il faut privilégier la solution préventive qui permet de maintenir ou de restaurer durablement la santé et la fonctionnalité des artères et du cœur.

La sagesse populaire relie notre âge biologique à la qualité physiologique de nos artères, ne dit-on pas que l’on a l’âge de ses artères?
Il existe une méthode de calcul, mise au point par des médecins, qui permet de calculer « l’âge potentiel » de nos artères comparativement à notre état civil … Le résultat est destiné à nous faire prendre conscience de l’état de santé réel de notre système cardio-vasculaire. Il souligne la vulnérabilité de notre espérance de vie sans invalidités par comparaison à la longueur de vie moyenne actuelle dans nos sociétés. Il a aussi le mérite de nous sensibiliser à la nécessité d’entretenir la fonctionnalité de nos artères si nous adhérons à l’objectif de perdurer en bonne condition, le plus longtemps possible.

Le couple infernal : Artériosclérose et Athérosclérose.
Ces deux termes, bien que recouvrant deux réalités différentes, ont acquis par l’usage le même sens: une progressive défaillance fonctionnelle des artères. Cette déficience fonctionnelle est particulièrement marquée dans nos sociétés occidentales industrialisées.
Elle est l’acteur principal de notre première cause d’hospitalisation et de décès: les maladies cardio-vasculaires.

L’artériosclérose, désigne l’épaississement, le durcissement, la perte de souplesse et l’augmentation de volume des artères au fur et à mesure de la croissance de l’âge. L’artériosclérose est la conséquence première de la dégradation, liée au vieillissement, des tissus artériels et de la physiologie des cellules qui les composent.
Ces dégradations sont stimulées, amplifiées et accélérées par l’athérosclérose.

L’athérosclérose, qui vient du grec « Athéré » et qui signifie : bouillie, qualifie l’invasion de la tunique interne des artères par des infiltrations graisseuses qui évoluent sous l’effet de différents mécanismes en plaques d’athéromes.

Les facteurs de risque vasculaires sont hiérarchisés.

De nombreux facteurs favorisent le processus d’athérosclérose et, par allant d’artériosclérose. Ils sont appelés communément, facteurs de risque vasculaires. Il est faux de penser, comme le suggèrent les médias, que le cholestérol et l’hypertension sont les grands coupables. La moitié des malades et accidentés cardiaques ne connaissait ni excès de cholestérol, ni hypertension.
La véritable coupable est primordialement l’inflammation des vaisseaux sanguins adossée à l’âge.
Pour se protéger contre les maladies du cœur, il faut comprendre les étapes qui mènent aux insuffisances artérielles et ne pas se concentrer uniquement sur des facteurs importants certes, mais seulement concomitants comme la baisse du taux de cholestérol et de l’hypertension.

Agir sur les facteurs primordiaux pour les minimiser est la meilleure façon de contrôler l’artériosclérose.

Des études récentes ont montré que ces facteurs de risque étaient hiérarchisés et que considérés isolément aucun n’était nécessaire et suffisant à lui tout seul pour déclencher une évolution pathogène de l’athérosclérose. C’est la présence déterminante et indispensable de l’inflammation étayée par l’âge et leur conjugaison simultanée avec d’autres facteurs qui provoque l’éclosion et l’évolution du processus athéromateux et sa conséquence : l’artériosclérose.

Les facteurs primordiaux initient le processus athéromateux.

L’inflammation: l’athérosclérose est un processus consécutif de l’inflammation. Cette composante inflammatoire est nécessairement présente et joue un rôle prépondérant dans la responsabilité des modifications structurelles des tissus artériels.

L’âge: l’athérosclérose est fortement corrélée au vieillissement avec ses conséquences cellulaires et tissulaires (diminution du renouvellement cellulaire, dérégulation de leur capacité de synthèse, entre autres du collagène).

Les excès de graisses (cholestérol et triglycérides) dans le sang : Avoir trop de cholestérol ou de triglycérides n’est pas nocif en soi-même. C’est le taux excessif de LDL cholestérol associé à l’inflammation qu’il provoque qui sont les acteurs les plus virulents de la constitution des athéromes. Mais plus encore, c’est l’insuffisance de HDL cholestérol qui permet au LDL cholestérol de stagner et de provoquer cette inflammation qui est un grand responsable de l’athérosclérose.
Nous sommes tous exposés à ces facteurs de risque primordiaux et ce d’autant plus que nous avançons en âge. C’est par une prévention active, le plus tôt possible, à l’égard de ces facteurs de risque que nous pourrons réconcilier notre âge et l’âge de nos artères et espérer couler fort longtemps des jours sans invalidité majeure.

Remonter le temps jusqu’à un fonctionnement cardiaque optimum.

En prenant en considération l’échelle des facteurs de risque primordiaux, pour gagner la bataille de l’artériosclérose, il nous appartient en premier lieu de contenir, autant que faire se peut, les conséquences physiologiques de notre vieillissement et de circonscrire et de réguler l’inflammation chronique. Ensuite, de veiller à une bonne régulation du cholestérol. Enfin de traiter diététiquement ou médicalement les autres facteurs de risque (hypertension, diabète…).
A notre portée et à tout âge, nous avons la possibilité, moyennant quelques efforts, de stabiliser l’état sclérotique de nos artères, d’empêcher qu’il ne dégénère, d’éviter qu’il n’empire et avec un peu de constance, de faire régresser les plaques et d’améliorer l’état de notre système cardio-vasculaire ! Bref, le faire rajeunir !

Pour la première étape, qui est la plus cruciale car la plus déterminante, un nouveau complément alimentaire s’offre à nous: l’ATHEROLYS.

ATHEROLYS est une composition alimentaire à base de principes nutritionnels agissant en synergie, à même de nous offrir une prévention active en vu de circonscrire et de réduire les facteurs primordiaux de risque, que sont le vieillissement et l’inflammation.
Les plus à même de contrarier à terme plus ou moins rapproché la bonne fonctionnalité artérielle. En effet, ATHEROLYS est un supplément nutritionnel original et exclusif incorporant, sous une forme micro-encapsulée, des principes anti-inflammatoires, les bromélaïnes, dans un complexe breveté de fibres solubles régulateur de la physiologie du collagène artériel et du calcium. Les bromélaïnes sont des enzymes naturelles extraites de l’ananas. Le complexe breveté de fibres est composé de principes physiologiquement actifs obtenus à partir de la pectine de pommes, d’algues marines et de chitine.
Sa présentation sous forme micro-encapsulée préserve les principes nutritionnels utiles et actifs au cours du tractus digestif tout en lui facilitant le passage de la barrière intestinale. Cette qualité de transporteur augmente leur biodisponibilité dans le système général et circulatoire, et optimise leur acheminement vers le niveau vasculaire, lieu ciblé d’utilisation.

Régénérer le stock de collagène des artères.

La paroi artérielle est un organe métaboliquement actif. Le collagène est une de ses matières structurantes qui se présente sous différentes formes appelés types qui sont plus ou moins présents dans les tissus selon leur localisation et leur fonctionnalité organique.
Les différents types de collagène entrant dans la composition du tissu artériel, se modifient et fluctuent progressivement sous l’impact de phénomènes liés au vieillissement. Certains types augmentent, d’autres diminuent, en particulier le type-3, fortement présent dans l’artère jeune. Cette perturbation de la synthèse du collagène au niveau cellulaire et sa modification qualitative et quantitative apparaît comme étant une des causes de l’épaississement et du durcissement progressif du tissu des artères et un facteur de risque supplémentaire de rupture de la plaque d’athérome.
Les principes nutritionnels d’ATHEROLYS ont démontré une action régulatrice et équilibrante du potentiel de synthèse cellulaire du collagène, perturbé par la progression de l’âge.
Au travers de cette action régulatrice de la synthèse du collagène, en favorisant le rééquilibrage en faveur du collagène de type 3, la consommation d’ATHEROLYS freine le durcissement et l’épaississement des artères dûs au vieillissement. Ce complément contribue également à limiter les risques d’amplification des plaques d’athéromes existantes, à diminuer le risque de formation de nouvelles plaques, à prévenir les risques de rupture de la chape fibreuse stabilisatrice des athéromes et donc des pathologies cardiovasculaires qui en découlent.

Réduire les plaques d’Athérome grâce aux bromélaïnes.

Les vertus de la composante enzymatique d’ATHEROLYS, les bromélaïnes, sont largement documentées. Elles ont fait leurs preuves dans le domaine de l’inflammation (post-traumatique, post infectieuse ou chronique) qu’elles canalisent et réduisent substantiellement.
Elles assurent à ATHEROLYS le contrôle de la composante la plus effective du processus athéromateux contribuant à une réduction importante du risque global d’athérosclérose par diminution de l’activité des autres facteurs de risque. Mais les bromélaïnes, enzymes protéolytiques (décomposant les protéines) ont démontré cliniquement d’autres actions. Elles jouent un rôle clef de prévention et de normalisation dans l’agrégation plaquettaire.
Ces propriétés contribuent à améliorer la viscosité du sang, à diminuer les risques de récidives d’angine de poitrine, à prévenir les risques de thromboses. Elles aident à réduire la plaque d’athérome et, en association avec les autres composants, à diminuer l’incidence des accidents cardiovasculaires (infarctus).
Enfin, l’apport calcique d’ATHEROLYS favorise la réduction de l’absorption des graisses, ce qui ne peut qu’influencer favorablement le taux des lipides dans le sang…donc le taux de cholestérol et des triglycérides.
Grâce à ATHEROLYS nous sommes donc en mesure de neutraliser au maximum l’impact des deux facteurs primordiaux de risque d’artériosclérose, l’âge et l’inflammation et par là de limiter l’impact des autres facteurs de risque et de garder sous contrôle « l’état sclérotique de nos artères » ainsi que les risques pour notre santé et la longévité qui en découlent.

Augmenter significativement le taux de bon cholestérol.

Un autre point incontournable lorsque l’on parle de prévention du risque d’athérosclérose, c’est le rôle central joué par le cholestérol et plus encore par ses transporteurs : les LDL cholestérol et les HDL cholestérol. Le LDL cholestérol, ces lipoprotéines à basse densité apportent le cholestérol là où il va être utile dans notre corps mais, au moment du déchargement, le cholestérol en surplus reste autour de la cible. S’il n’est pas rapidement éliminé, il peut être capté par les cellules des parois artérielles, participant ainsi à l’évolution du processus athéromateux et de la sclérose des artères.
Normalement, ce surplus de cholestérol va être ramassé par les lipoprotéines à haute densité (HDL), qui nettoient les artères et ramènent le cholestérol en trop vers le foie, qui va assurer son élimination dans la bile. C’est pourquoi on surnomme souvent le HDL cholestérol le « bon » cholestérol, par opposition au LDL cholestérol, qui est le « mauvais », dans la mesure où il favorise le processus athéromateux.
C’est pourquoi aussi nous devons tous veiller, ceux qui sont affectés d’hypercholestérolémie et tous les autres, à maintenir notre taux de HDL cholestérol au niveau le plus élevé possible. Car ce taux de HDL cholestérol est quantitativement représentatif du potentiel d’épuration du cholestérol cellulaire. L’efficacité du retour du cholestérol des cellules périphériques vers le foie via les HDL est capitale pour tout le métabolisme du cholestérol et confère un rôle protecteur au HDL vis à vis de l’athérosclérose.
L’ensemble de ce mécanisme confère au foie une fonction centrale dans le contrôle de l’athérosclérose par le biais de la synthèse des HDL et l’élimination des excès de cholestérol sérique.

Quand le foie aide le cœur 

Et nous pouvons aider notre foie avec le complément alimentaire HAN-HEPA que je considère comme un des meilleurs hépato-régénérateur actuellement disponible sur le marché.
Le HAN-HEPA, complexe breveté de principes actifs (polyphénols) issus de fruits et de légumes (kaki, baies de lycium et sarrasin) est un des très rares compléments alimentaires à augmenter sensiblement le taux de HDL cholestérol et à diminuer drastiquement les triglycérides. Et ce, en l’espace de quelques mois à raison de quelques 2-3 grammes par jour (4-6 comprimés). Ce que ne font pas les statines par exemple, qui jouent uniquement sur les LDL…

Et quand on sait qu’il a été cliniquement établi que chaque 0,01 g de HDL gagné diminue de 2% le risque athéromateux et que le HAN-HEPA fait gagner dans la plupart des cas entre 0,1 et 0,3 g de HDL… c’est une réduction de 20 à 60% du risque que nous offre une complémentation de quelques mois par an de HAN-HEPA. En complétant la prise de ATHEROLYS et de HAN-HEPA par quelques  mesures diététiques et de bon sens dans notre mode de vie, nous sommes en mesure de mener une véritable prévention de l’athérosclérose et de ramener sans coup férir notre âge artériel au niveau de notre état civil… et peut-être même de le rajeunir.
Sans rentrer dans le détail il appartient à chacun d’entre nous de fuir le tabac, de bannir les excès de sucres rapides et de privilégier un régime riche en fruits, légumes, favorisant le poisson et les viandes blanches au détriment des viandes rouges. Dans tous les cas, il faut surveiller la tension artérielle (remplacer le sel par le Symbiosal est la sagesse même) et la glycémie, faire traiter l’hypertension et le diabète.
Veiller à maintenir un bon niveau d’omégas 3 dans le bol quotidien, car leur intérêt dans le domaine cellulaire et cardiovasculaire est de plus en plus confirmé…

Il n’est jamais ni trop tôt ni trop tard pour la prévention.
Vous avez dépassé la cinquantaine et vous avancez en âge, vous êtes sujet à l’hypercholestérolémie (traitée ou non) ou diabétique, vous êtes en surpoids ou obèse, vous êtes du sexe masculin ou féminin (après la ménopause), vous avez l’hérédité lourde dans le domaine de l’athérosclérose ou de la cholestérolémie, vous souffrez d’hypertension ou de la goutte, vous soufflez beaucoup et récupérez mal lors des efforts physiques, votre mémoire défaille et votre attention et votre concentration baissent… à vous tous, la prise régulière et périodiquement renouvelée du complément ATHEROLYS vous rendra la forme et remettra votre horloge biologique artérielle à la bonne heure. Il vous aidera à retrouver une bonne condition physique et cérébrale et à prévenir les risques de ces affections cardio-vasculaires qui sont facteurs de diminution de notre potentiel de qualité de vie ou tout simplement de notre pronostic vital. Dans tous les cas, faire une prévention HDL sous forme de 2 ou 3 fois 2 mois par an de HAN-HEPA, c’est un complément d’assurance minimum qu’il est presque insensé de ne pas prendre.
Pour ma part, j’ai adopté l’ATHEROLYS que je prends en alternance avec le PROPHYSIL, 3 mois l’un, 3 mois l’autre. Depuis plusieurs années je prends HAN-HEPA plusieurs mois par an. Je me sens toujours et même de plus en plus apte au service !!! Ce n’est pas le cœur qui m’aura…

Docteur Jean-Pierre WILLEM