CHOLESTÉROL, TRIGLYCÉRIDES, SUCRE, POIDS, TENSION…

…il faut les contenir à leur bon niveau biologique pour optimiser la fonctionnalité de l’organisme et pour aller loin dans le temps… en bonne santé ! Un moyen efficace…réduire et corriger la résistance cellulaire à l’insuline qui accompagne la croissance en âge de la majorité de la population !


Qu’est-ce que la résistance cellulaire à l’insuline?

La résistance cellulaire à l’insuline, ou insulino-résistance, est la perturbation d’un mécanisme biologique clé impliquant le métabolisme
cellulaire et une hormone, l’insuline. L’insuline est une hormone produite par certaines cellules du pancréas. De petites quantités d’insuline sont normalement libérées dans la circulation sanguine après chaque repas. Cette insuline, en se fixant sur des récepteurs cellulaires spécifiques, est indispensable pour permettre une bonne pénétration du glucose dans les cellules du corps où il est nécessaire pour assurer la production d’énergie. La résistance à l’insuline correspond à une insensibilisation plus ou moins marquée des récepteurs cellulaires à l’insuline, entraînant une diminution de la réponse cellulaire aux effets de l’insuline. Avec pour conséquence, une baisse de la faculté de pénétration du glucose dans les cellules des tissus de l’organisme, en particulier, des tissus hépatiques des tissus cardiaques, musculaires et adipeux (ou graisse). Comme les cellules doivent utiliser du glucose pour survivre, l’organisme compense en produisant des quantités supplémentaires d’insuline.
Il en résulte un état d’hyper-insulinémie avec d’une part une stimulation excessive de certains tissus restés sensibles à l’insuline et d’autre part des désordres fonctionnels dans les organes et tissus dont les cellules sont mal alimentées. Au fil du temps, ce processus entraîne un déséquilibre dans la relation glucose/insuline dont les effets néfastes pour l’organisme mènent pour beaucoup au syndrome métabolique prédisposant à l’obésité, au diabète, aux maladies cardio-vasculaires, voire au cancer.

Qui est concerné par l’insulino-résistance ?

L’insulino-résistance n’est pas une maladie, mais un dérèglement physiologique qui initie fréquemment des perturbations biologiques plus importantes qui préfigurent souvent des pathologies parmi les plus meurtrières de notre époque. Beaucoup sont plus ou moins concernés et de plus en plus avec l’avancée en âge. Une étude canadienne a montré que 11 à 15% des enfants entre 9 et 16 ans avaient une insulinémie (taux d’insuline dans le sang) trop élevée, signe manifeste d’un début de résistance cellulaire à l’insuline. Il en est de même pour plus de 60 % des adultes de plus de 50 ans.
Réduire, corriger voire neutraliser l’insulino-résistance et ses incidences sur la physiologie de l’organisme apparait donc primordial et salutaire pour maintenir la qualité de vie de la majorité des adultes et cela d’autant plus qu’ils avancent sur le chemin du vieillissement!

Les facteurs à l’origine de l’insulino-résistance.

L’origine et les mécanismes de la résistance à l’insuline ne sont pas entièrement élucidés. Les causes, elles, sont reliées d’une part à des facteurs génétiques y compris l’appartenance ethnique, d’autre part à l’environnement, au mode et au style de vie, et enfin à l’augmentation de l’âge.

Les facteurs les plus initiateurs de résistance à l’insuline sont :

Le surpoids et l’impact sur le métabolisme énergétique d’une alimentation mal équilibrée, trop pauvre en nutriments mais trop riche en sucres, en graisses, en sel et en calories, associée à une pénurie d’activités physiques.

Les dérèglements hormonaux provoqués par l’âge, la pollution et les résidus chimiques alimentaires et environnementaux (métaux lourds, particules chimiques…)

L’inflammation chronique et les processus oxydatifs liés au stress provoqués par un environnement social agressif et angoissant

Les effets secondaires de certaines médications (statines…)

La progression de l’âge s’accompagne de modifications biologiques qui ont des répercussions directes sur la sensibilité des cellules à l’insuline, entre autres :

Le déclin de la synthèse hormonale sexuelle chez l’homme comme chez la femme (ce qui explique la tendance de prendre du ventre à partir de l’andropause et de la ménopause).

La modification de la flore intestinale.

La baisse des défenses immunitaires, de la biologie, du renouvellement et du métabolisme cellulaire.

Quant à la génétique, elle est omniprésente aussi dans l’insulino-résistance : il y a des lignées de diabétiques de type-2, et les populations noires et surtout asiatiques ont une propension à la résistance à l’insuline nettement plus élevée que les populations blanches caucasiennes ! Ce qui explique pourquoi les noirs et les asiatiques américains sont nettement plus en surpoids que la fraction blanche américaine et que le diabète de type-2 très répandu en Europe est endémique dans les populations asiatiques et africaines.

Les conséquences de l’insulino-résistance.

La plupart des personnes atteintes de résistance cellulaire à l’insuline ne présentent aucun symptôme. Dans la plupart des cas, l’organisme est en mesure d’adapter sa production d’insuline et on ne remarque aucun symptôme spécifique de l’hyperinsulinémie au niveau de l’organisme. Mais au fil du temps la production d’insuline devient insuffisante, parce que l’organisme ne parvient pas ou plus à en produire assez, une hyperglycémie s’installe progressivement.
Dans une phase ultérieure, la production d’insuline par le pancréas va voisiner le zéro et cette hyperglycémie va progresser et se transformer
en un diabète de type-2, qui est source de bien des dommages organiques avec des symptômes très présents.
Mais avant ce stade ultime, hyperinsulinémie et insulino-résistance influent silencieusement et plus ou moins intensément sur le métabolisme
et la fonctionnalité des cellules organiques avec des conséquences souvent fort mesurables.

Au niveau des cellules du foie, ces deux phénomènes initient un déficit fonctionnel hépatique qui est révélé par la stéatose, une invasion
silencieuse et progressive des hépatocytes par les graisses qui peut aboutir en stade ultime à l’insuffisance voire la fibrose hépatique.
La diminution du potentiel de détoxification, de synthétisation et de régulation du foie favorise le déséquilibre et la déstabilisation dans l’organisme des proportions de lipides et de glucides circulants et stockés. Avec comme conséquence une élévation de la quantité de triglycérides (graisse) et de LDL cholestérol (lipoprotéines de basse densité) dans le sang, et une baisse de la quantité de HDL cholestérol (lipoprotéines de haute densité ou «bon cholestérol »). Ce qui contribue à augmenter le risque de développer un thrombus, à entraîner des modifications inflammatoires, et à accroître la rétention de sodium, provoquant une montée de la tension artérielle. L’insulino-résistance est donc un facteur de risque de pathologies cardio-vasculaires et hépatiques des plus importants.

Au niveau des cellules du pancréas ces deux phénomènes stimulent à l’excès la production d’insuline. Après une période plus ou moins importante selon les individus, la production d’insuline des cellules pancréatiques diminue puis s’épuise. Une hyperglycémie va progressivement s’installer pour évoluer vers un état pathologique, le diabète de type-2. L’hyperglycémie et le diabète de type-2 concernent
déjà 1 français sur 5 de plus de 60 ans.

Au niveau des cellules adipeuses (adipocytes), dont l’activité est contrôlée par le foie, le cerveau, les hormones sexuelles et l’insuline, l’activité stockage et déstockage est plus ou moins fortement troublée et dérèglée. Le surpoids est à la fois une conséquence mais aussi un des principaux facteurs initiateurs de la résistance cellulaire à l’insuline. Les chercheurs ont découvert que les cellules qui emmagasinent le gras (les cellules adipeuses) sont capables de libérer des hormones très impliquées dans la résistance à l’insuline et le syndrome métabolique. Les troubles de la gestion du poids sont une des conséquences majeures de la résistance cellulaire – en l’occurrence les adipocytes – à l’insuline. Les perturbations fonctionnelles du stockage des graisses à l’entrée dans les adipocytes, vont impulser une hausse du taux de triglycérides dans le sang, une
intensification de l’insulino-résistance et un stockage des lipides dans d’autres parties du corps, en particulier au niveau abdominal.
Ce qui explique la fréquence d’un développement abdominal plus ou moins prononcé après la cinquantaine. Ces graisses abdominales sont particulièrement nocives pour la sphère cardiaque car source très pathogène d’artériosclérose. Le frein à la sortie de l’énergie nuit d’autre part à une bonne mobilisation des lipides, expliquant pourquoi il est difficile de maigrir et de perdre du poids surtout lorsque l’âge avance. Et aussi pourquoi perdre du poids trop vite, favorise la reprise de poids car l’excès brutal de triglycérides circulant va restimuler la résistance à l’insuline et… le cercle vicieux s’installe.

La résistance cellulaire n’est pas une maladie mais…

La résistance à l’insuline n’est pas une maladie avec un diagnostic spécifique, mais dans la pratique elle est associée à des pathologies telles les maladies cardiovasculaires, l’hypertension, le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), le diabète de type-2, le surpoids et l’obésité ainsi que la stéatose et la fibrose hépatique. Certains chercheurs pensent qu’il peut y avoir un lien entre l’insulino-résistance et certaines formes de cancer. Cette résistance cellulaire à l’insuline est le facteur primordial, à l’origine des perturbations des niveaux sanguins des lipides (triglycérides, cholestérol), des glucides (glycémie), du poids, de la souplesse des artères, de la pression artérielle, de stress devenant oxydatif et de l’inflammation silencieuse… et de leurs conséquences pathologiques ! Au fur et à mesure de son vieillissement et de son style de vie chacun est ou sera concerné, de manière plus ou moins importante. Les fréquences d’association entre les pathologies citées et l’insulino-résistance sont si fortes, qu’il est indiscutable que l’insulino-résistance est un facteur majeur contribuant au développement, à l’aggravation et à l’intensification de ces pathologies au niveau biologique.

Le syndrome métabolique.

Une des meilleures façons d’évaluer l’ampleur de la progression de la résistance à l’insuline est de mesurer les paramètres définissant le syndrome métabolique.
Il y a syndrome métabolique lorsque 3 ou plus des facteurs de risque suivants sont présents :

Embonpoint abdominal (lorsque le gras se concentre autour de la taille) : le tour de taille est supérieur à 80 cm (31,5 po) pour les femmes et à 102 cm (37 po) pour les hommes.
Taux élevé de triglycérides sanguins : ce taux est égal ou supérieur à 150 mg/dl.
Hypertension : la tension artérielle est égale ou supérieure à 140 mm Hg/90mm Hg.
Faible taux de « bon » cholestérol (HDL) : inférieur à 40 mg/dl chez les hommes et à 50 mg/dl chez les femmes.
Glycémie élevée : glycémie à jeûn égale ou supérieure à 1g/l.

L’inflammation chronique par le biais de la mesure de la protéine C-réactive mériterait d’en faire partie.
En Europe comme aux États-Unis, on estime que de 20 % à 25 % de la population adulte vérifie au moins 3 des critères du syndrome métabolique, 40 % chez les plus de 60 ans. Ces personnes ne représentent qu’une partie des insulino-résistants et la plupart
ignorent leur état.

La prévention et la correction de la résistance cellulaire à l’insuline.

Un complément alimentaire développé par HAN-BIOTECH est en mesure de réduire et de limiter l’impact de ce facteur de risque et de corriger ses effets sur la biologie et la physiologie de l’organisme !
HANOBIX est une association efficiente des principes actifs alimentaires végétaux du HAN-HEPA (polyphénols du kaki , du goji) avec des extraits de cannelle de Ceylan et du transresvératrol extrait du raisin. Cette combinaison exclusive de substances aux effets complémentaires,
démontre une remarquable efficacité dans la correction, la prévention, la réduction et la limitation des retentissements de l’insulino-résistance sur l’organisme. Les effets de cette composition sont synergiques : les propriétés de chaque composant sont améliorées, augmentées, amplifiées par leur conjugaison avec les principes et actions des autres. Sa consommation ponctuelle à intervalle régulier favorise la restauration d’une physiologie cellulaire, organique et somatique en harmonie avec les critères et les niveaux biologiques préconisés par le corps médical.
Ainsi HANOBIX va exercer son action correctrice sur les différents métabolismes et facteurs impliqués dans la résistance à l’insuline !

Tout d’abord, grâce à un effet «simili-insuline » lié à l’extrait de cannelle, HANOBIX va favoriser la pénétration du glucose dans le métabolisme cellulaire et initier une régulation de la glycémie et une réduction de sécrétion de l’insuline au niveau du pancréas, limitant le risque d’épuisement du stock d’insuline et de l’éclosion du diabète.

Au niveau hépatique HANOBIX va régénérer la qualité et la fonctionnalité du foie et de la cellule hépatique en luttant contre l’invasion graisseuse des cellules hépatiques (stéatose) toujours présente à côté de l’insulino-résistance et de l’insulinémie excessive. Il va ainsi stimuler et régénérer le potentiel de synthèse et de régulation du foie, du glycogène, des cholestérols et des triglycérides. Sous l’influence de l’insuline le foie synthétise, stocke et déstocke les sucres et les graisses en fonction des besoins de l’organisme. C’est l’unité centrale qui gouverne le métabolisme énergétique et dont la qualité fonctionnelle est une des clés du contrôle de la résistance à l’insuline.
Ceci est corroboré par les personnes affectées par une hépatite C qui présentent, presque toutes une résistance cellulaire à l’insuline.

Au niveau des réserves de graisses corporelles, HANOBIX va réamorcer la fluidité de la fonction stockage / déstockage dans les adipocytes permettant une meilleure mobilisation lors des besoins énergétiques. Différentes études ont démontré que sa composante resvératrol augmentait de 29% le métabolisme basal, c’est-à-dire la dépense énergétique du corps au repos et développe un très surprenant effet coupe-faim réduisant la quantité de nourriture ingérée. Il stimule l’augmentation du taux d’une hormone digestive impliquée dans l’utilisation des réserves de graisses qui entraîne habituellement une stimulation des dépenses énergétiques. Par ailleurs des propriétés antinflammatoires et cardio-protectrices ainsi qu’une activité antivieillissement ont été démontrées et prouvées. Enfin cette molécule est aussi capable d’activer une enzyme impliquée dans l’équilibre du glucose et dans le métabolisme des lipides.

Des essais cliniques ont démontré les effets bénéfiques des principes du resvératrol et de la cannelle de HANOBIX sur le niveau de glucose et d’insuline et du poids corporel chez les animaux et les humains. Selon des études récentes le fait de supplémenter en resvératrol la nourriture de souris obèses étend leur durée de vie et contrecarre les effets délétères d’un régime riche en graisse.
Soumises pendant deux mois à un régime riche en graisse, représentatif de l’alimentation des pays occidentaux, des souris recevant en plus du resvératrol ont montré une prise de poids inférieure de 40 % par rapport à celles qui n’en recevaient pas. L’analyse de leurs tissus musculaires a permis de constater que leurs cellules s’étaient beaucoup enrichies en mitochondries, ces microcellules productrices d’énergie et qu’elles étaient particulièrement actives. Ce phénomène a pour conséquence heureuse d’accroître la consommation d’oxygène dans les cellules et d’éviter une prise de poids indue tout en fournissant une meilleure résistance à la fatigue.
Ce dernier point fut confirmé par un test d’endurance, montrant que les souris sous resvératrol pouvaient courir deux fois plus loin que les autres. Un essai similaire a été effectué sur des souris âgées et pendant une longue période (deux ans). Les résultats ont montré que les souris sous resvératrol amélioraient sérieusement leur sensibilité à l’insuline et accroissaient leur durée de vie de manière notable par comparaison à celles recevant seulement une nourriture grasse.
HANOBIX apparait comme un complément des plus utile pour la régulation du poids corporel, de la cholestérolémie (avec augmentation des HDL Cholestérol et diminution des LDL Cholestérol), la normalisation du taux des triglycérides (graisses dans le sang), de la glycémie avec une action positive et préventive au niveau de la sphère cardio-vasculaire (hypertension, artériosclérose,…) , hépatique et pancréatique.
En présence d’un diabète de type 2 déjà établi, HANOBIX favorise une meilleure régulation du niveau de la glycémie et freine, limite et contribue à réparer, en particulier au niveau du foie, les conséquences délétères pour l’organisme du diabète. L’expérimentation animale et les études cliniques humaines ont mis en évidence que les principes actifs de la cannelle et du resvératrol de HANOBIX peuvent réduire l’insulino-résistance et réduire la glycémie (de 18 % à 29 %), la cholestérolémie (de 12 % à 26 %) la triglycéridémie (de 23 % à 30 %).
Tout le monde est concerné par la résistance cellulaire à l’insuline mais c’est une très forte majorité des plus de 50 ans qui affichent une ou plusieurs anomalies ou perturbations physiques (tour de taille augmenté, surpoids, hypertension…) ou sanguines (glycémie, cholestérol, triglycérides, insulinémie, protéine C-réactive …).
Bref, tous ceux qui veulent éviter d’être ou qui sont déjà affligés de surpoids, d’obésité, de gros ventre, de perturbation des taux de cholestérol, de la glycémie, de désordres métaboliques et hépatiques, d’hypertension et de troubles cardio-vasculaires, de lassitude, de manque de vitalité et d’envie d’entreprendre tireront les plus grands bénéfices d’une adjonction à leur alimentation quotidienne de quelques grammes de HANOBIX!
Il ne faut pas hésiter à augmenter la dose au départ pendant 2 à 3 mois pour régulariser plus rapidement la situation surtout en cas de surpoids, de diabète ou de cholestérolémie importants.
Par la suite un entretien épisodique des résultats obtenus s’impose.
HANOBIX seul ou mieux, associé à un peu d’exercice physique, est le meilleur accompagnement pour favoriser le retour à un bon équilibre de la physiologie nutritionnelle et alimentaire. C’est aussi le plus judicieux facteur de succès des régimes hypocholestérolémiants, amaigrissants, hypoglycémiants et d’une bonne maintenance cardiaque, vasculaire, hépatique cellulaire et somatique.

Docteur Jean-Pierre Willem