Maintenir l’efficacité de notre système hormonal affectée par les perturbateurs endocriniens et par l’âge assure santé et longévité.

 

L’immense majorité (+90%) de la population des pays occidentaux est régulièrement exposée au Bisphénol-A, aux phtalates et autres perturbateurs endocriniens qui, associés au progrès de l’âge, perturbent de plus en plus intensément leur potentiel hormonal ! Le niveau de testostérone est particulièrement et fortement impacté et décline de plus en plus rapidement! Chez la femme comme chez l’homme, un taux abaissé de testostérone altère la santé et le bien-être, ce qui contribue à diminuer la longévité ainsi que l’espérance de vie en bonne santé, sans invalidité ! Car la réduction du taux de testostérone dérègle le bon fonctionnement de l’organisme avec des conséquences délétères pour les deux sexes !

La testostérone n’est pas seulement une hormone sexuelle, c’est une hormone qui exerce un effet général sur toute la biologie l’organisme.

C’est l’hormone de l’énergie et de la confiance en soi qui protège le cerveau, les os et le cœur de l’être humain, en plus de déclencher son désir…

C’est une hormone importante pour le corps puisqu’elle apporte, lorsqu’elle est active, une énergie constante et une endurance du matin au soir, du souffle et du tonus.

En effet, elle rend la peau plus tonique et plus tendue, elle humidifie les muqueuses des yeux et de la bouche. Elle abaisse le taux de cholestérol. Elle est nécessaire au maintien du poids.

L’influence de la testostérone ne se limite pas au plan physique et biologique. Elle apaise le psychisme, aide à relativiser et à surmonter les obstacles et problèmes et à faire face au stress par une attitude plus volontaire et persévérante.

Elle rend de bonne humeur et réduit l’irritabilité émotionnelle.

La cause physiologique de l’appauvrissement du taux de testostérone, pour l’homme comme pour la femme, est la progression de l’âge (andropause et ménopause).

Mais cet affaiblissement progressif du niveau de testostérone est amplifié et intensifié par différents facteurs qui exercent un effet négatif sur la production de testostérone et qui sont à l’origine d’une importante accélération de la baisse de son taux sanguin.

Ces facteurs sont, en premier lieu, l’exposition (quasi inévitable dans la période actuelle) aux perturbateurs endocriniens au travers de notre alimentation (glyphosate et pesticides dans les fruits et légumes, bisphénol dans les emballages) et notre hygiène (produits cosmétiques). En second lieu: notre environnement avec sa pollution de toute nature (métaux lourds, particules fines, rayonnements électromagnétiques).

Ensuite notre mode de vie avec sa diététique déséquilibrée au niveau des apports de lipides, de glucides et de protéines entrainant une fréquente surcharge pondérale.

La prise de médicaments est aussi impliquée, en particulier certains antidépresseurs et antihypertenseurs ainsi que les stéroïdes anabolisants.

Et enfin le manque de sommeil (dormir moins de 8h par jour diminue drastiquement la synthèse de testostérone et favorise la prise de poids), la déficience en vitamine D (70% de la population française est carencée en vitamine D), l’exposition quasi endémique au stress ce qui, en libérant du cortisol, génére un effet négatif sur la production de testostérone, tout comme la dépression qui produit le même effet.

Tous ces facteurs, associés à l’inexorable progression de l’âge, impactent avec force et constance le niveau de testostérone qui décline de plus en plus tôt et de plus en plus vite chez l’homme, tout comme chez la femme. Avec les conséquences suivantes :

Chez l’homme : La testostérone est surtout connue pour être l’hormone mâle à l’origine des muscles, de la pilosité, de l’agressivité et des pulsions sexuelles, c’est l’hormone androgène par excellence… Chez l’homme, la stimulation sexuelle et l’érection commencent dans le cerveau quand les récepteurs neuronaux captent la testostérone.

Le fléchissement de la production testiculaire de testostérone commence à partir de 25 ans. (-1% par an à partir de 25 ans).

Cette diminution biologique de production sous l’effet du vieillissement, stimulée et amplifiée à la baisse par les facteurs externes environnementaux, réduit progressivement l’activité génitale, la fertilité, le volume testiculaire, la masse musculaire et la pilosité.

Une équipe française a récemment rapporté que la concentration moyenne de spermatozoïdes des hommes âgés de 18 à 70 ans a chuté d’environ 33 % au cours des 15 dernières années, et que cette baisse était accompagnée d’une réduction similaire du nombre de spermatozoïdes possédant une morphologie normale.

L’impact des facteurs environnementaux sur le système reproducteur masculin a été confirmé par une étude récente qui démontre que les perturbateurs endocriniens, en diminuant la production de testostérone, exercent un impact négatif sur la fertilité humaine et interfèrent ainsi avec le développement fœtal des testicules humains.

Certaines pathologies dégénératives sont aussi liées directement ou indirectement au déclin de la testostérone: pathologies cardiaques, diabète, arthrite rhumatoïde, ostéoporose, hypertension.

Des taux bas de testostérone favorisent le développement de l’hypertrophie de la prostate. Un manque de testostérone peut faire baisser le taux de l’hormone de croissance, donnant au corps un aspect général mou, asthénique avec un dos courbé (caractéristique du vieillard) alors qu’au niveau du visage, les muscles des joues sont plus mous, le teint pâle, le regard terne avec des yeux secs. Des rides se creusent autour de la bouche, sur la joue et au coin des yeux.

Il faut ajouter qu’une baisse de puissance musculaire par insuffisance en testostérone signifie une baisse de puissance cardiaque.

Un taux normal de testostérone prévient la formation de caillots sanguins et le risque d’infarctus.

Responsable du maintien de la masse musculaire, la testostérone l’est aussi pour la masse osseuse, évitant l’ostéoporose, notamment les fractures, en particulier celles de la hanche. Le manque de sommeil, la dépression, une fatigue permanente du matin au soir comptent aussi parmi les conséquences délétères de la diminution du niveau de testostérone active.

Côté sexuel : chez l’homme, le déficit de testostérone entraîne des bouffées de chaleur, des érections et des éjaculations plus faibles. Parfois, un déficit plus important donne un pénis flasque, de testicules mous et de taille réduite, et un volume de la prostate augmenté.

Chez la femme : Quoiqu’en quantité trois à cinq fois moins importante, la testostérone est aussi présente et active chez la femme. L’essentiel de la production de testostérone chez la femme a lieu dans les ovaires durant la période de fertilité et un peu dans les surrénales. Mais la production ovarienne déjà impactée par les facteurs environnementaux cesse à la ménopause. Plusieurs conséquences gênantes s’ensuivent. Entre autres, le manque de tonus, l’affaissement des chairs, plus particulièrement une perte de tonicité sous les bras. Cette carence de testostérone est à même d’entraîner une réduction du muscle cardiaque et d’augmenter le risque d’infarctus. Des études ont d’ailleurs démontré qu’une testostérone active réduit le risque de maladies cardiovasculaires chez les femmes ménopausées.

La baisse de testostérone s’accompagne aussi d’un manque de sensibilité clitoridienne, d’une diminution de la capacité de représentation dans l’espace, et d’un risque accru de démence. Manquer de testostérone affecte considérablement la santé de l’organisme féminin, le bon fonctionnement et l’apparence de son corps en favorisant la prise de poids et la localisation de la graisse au niveau des hanches et du ventre.

Plus le taux de testostérone est élevé, plus le sommeil est profond et réparateur et les rêves nombreux. La mémoire aussi est stimulée par un bon taux de testostérone.

Des études américaines portant sur plusieurs centaines de femmes affectées par la maladie d’Alzheimer ont montré l’impact d’une testostérone active sur l’amélioration de tous les symptômes chez les personnes atteintes et sur la prévention de l’évolution de la maladie pour les autres.

Les mesures correctives : l’exposition aux perturbateurs endocriniens et la progression de l’âge sont quasiment aussi inévitables l’une que l’autre mais leurs impacts et conséquences sur la production de testostérone peuvent être contrariés et corrigés pour l’un et pour l’autre sexe.

Pour les hommes au travers d’une prise régulière de T-NORMAX, un complexe exclusif et original à base d’alginates, d’extraits de chitine, de fenugrec de minéraux et vitamines.

Le complexe T-NORMIX est un stimulant efficace et efficient de la production de testostérone au niveau des surrénales et de la prostate.

Des essais cliniques sur l’homme et sur l’animal ont démontré l’important potentiel de stimulation, de régénération et d’augmentation de la synthèse et de la production de testostérone de T-NORMIX.

Une prise de T-NORMIX assure chez l’homme en quelques semaines une augmentation mesurable de la production de testostérone active, de la qualité et de la quantité de spermatozoïdes et une rapide amélioration de la libido. Après une prise initiale de 2- 3 mois, une prise régulière de 1 semaine sur 2 est une excellente prévention contre : l’hypertrophie de la prostate, la perte de force et de volume musculaire, l’invasion adipeuse au niveau du ventre (graisse viscérale), les maladies neurodégénératives, les maladies cardiovasculaires, et la fragilisation de l’édifice osseux.

Pour les femmes au travers d’une prise régulière

d’OP-NORM un complexe exclusif et original à base d’alginates, d’extraits de chitine, de sauge de minéraux et vitamines. OP-NORM est un complexe nutritionnel physiologiquement actif comme stimulant de la synthèse de testostérone et d’œstrogènes par l’organisme féminin. Sa consommation assure à l’organisme, le rétablissement et surtout la permanence d’un niveau biologique optimal d’imprégnation d’hormones sexuelles féminines.

Une prise d’OP-NORM assure chez la femme, en peu de temps, une optimisation du niveau hormonal, en particulier de testostérone active, qui est la meilleure prévention contre: les troubles liés à la période pré intra et post ménopausique, l’affaissement tissulaire, la fragilité osseuse, les maladies cardiovasculaires, la prise de poids, les troubles du sommeil, de l’attention et de la mémorisation. C’est aussi une excellente contribution au maintien de l’intégrité des capacités et facultés mentales et intellectuelles malgré l’avancé en âge et à la prévention de l’Alzheimer.

En conclusion, le constat qui s’impose est une explosion de la fréquence de la maladie d’Alzheimer ainsi que de l’obésité et du surpoids, un effondrement de la fertilité masculine, une envolée des risques d’affections cardiovasculaires, des cancers et des cas d’hypertrophies de la prostate et un amenuisement de la durée de vie en bonne santé…

Tous ces faits sont à relier de façon importante à l’épuisement de plus en plus marqué des taux de testostérone chez les hommes comme chez les femmes, qui, dans nos sociétés occidentales contemporaines, sont inévitablement soumis à l’impact des perturbateurs endocriniens.

Maintenir PHYSIOLOGIQUEMENT avec T-NORMIX et OP-NORM un niveau salutaire de TESTOSTERONE est la meilleure assurance et prévention santé que vous, aussi bien homme que femme, puissiez offrir à votre organisme pour lui permettre de résister aux agressions de l’environnement et de l’âge.

Dr. Jean-Pierre Willem