La lettre verte N°7
Déjouer le piège du sel… c’est gagner en santé et longévité !
Qui ne connaît le sel ? Ingrédient incontournable de l’art culinaire, agent de sapidité et de conservation, il est utilisé depuis la nuit des temps. Pour notre organisme, il s’agit d’un élément minéral essentiel à son bon fonctionnement et indispensable à de multiples fonctions vitales. Denrée rare, recherchée et convoitée dans le passé, la consommation de sel est devenue pléthorique en France et dans les pays industrialisés. En moyenne, outre les 2 à 4 g quotidiens de la salière, fromages, pains, plats cuisinés, céréales, apportent 6 à 8 g de sel en sus par jour. Soit 10 à 12 g quotidiennement alors que la consommation optimale devrait être de 2 à 4 g. L’idéal physiologique se situe autour de 2 g par jour pour un minimum vital de 0,5 g par jour. La différence est impressionnante et lourde de conséquences.
Le sel en excès c’est : 25 000 décès et 75 000 accidents cardiovasculaires par an.
Cette excessive consommation est en passe de devenir un enjeu très important de santé publique. Actuellement en France, l’excès de sel serait responsable, selon les travaux du professeur MENETON, chercheur à l’Inserm, de 25 000 décès par an et de 75 000 accidents cardiovasculaires, par hypertension . Ce constat n’a pas été du gout du Comité des Salines de France qui lui fit un procès en diffamation… mais la justice s’est rangé du coté du Pr MENETON et a débouté le Comité!
Alertées les autorités sanitaires en Europe et en Amérique du Nord mènent des campagnes pour inciter à la réduction de la consommation de sel. Sans effets ni beaucoup de résultats.
Pourtant les conclusions des experts sont formelles… il est impératif de réduire drastiquement la consommation de sel. Car le sel augmente de manière effective les problèmes d’hypertension artérielle. De nombreuses études ont montré que la tension moyenne dans une population était directement liée à ses apports en sel. Or l’hypertension artérielle est directement corrélée au taux d’infarctus ou d’ AVC (accident vasculaire cérébral). Le sel est également un facteur clé associé aux problèmes d’ostéoporose. Il n’est pas innocent dans l’apparition de certains cancers digestifs et du diabète. Il est associé aux dysfonctionnements de l’équilibre hydrique de l’organisme en particulier de la rétention d’eau et des œdèmes ainsi qu’à certains troubles rénaux en particulier les calculs.
Si tout le monde convient que l’excès de sel est néfaste, des désaccords nombreux se manifestent quand il s’agit de déterminer la dose dangereuse, car les intérêts en jeu sont si importants que l’impératif de santé publique est souvent relégué au second plan.
Pratiquement tous les français sont concernés par ce problème et tous ont intérêt à une réduction de leur consommation sodée afin d’approcher d’une dose bénigne de consommation quotidienne de sel. Mais éviter le piège de l’excès de sel n’est pas aisé et réduire sa consommation de manière importante est souvent fort problématique.
SYMBIOSAL, l’alternative sodée réductrice de risques.
Pourtant il existe une solution simple pour tous ceux qui sont conscients du problème et sont soucieux de leur santé et de celle de leur famille. Et plus particulièrement, mais non exclusivement pour les personnes qui sont tenues pour raison médicale de réduire, de diminuer ou de limiter leur consommation sodée. Cette solution est un sel original de substitution, le SYMBIOSAL, qui leur apportera tous les bénéfices d’une réduction drastique de la consommation de sel sans nuire ni à leur bien-être, ni à la qualité gustative de leur alimentation quotidienne. Conçu par une société de biotechnologie coréenne en association avec une université de la mer et breveté au niveau mondial, le SYMBIOSAL est une combinaison innovante de sel de mer de la meilleure qualité avec un Chitosan spécial dérivé de la chitine, une fibre soluble présente dans les pinces de crabe.
Elaboré selon un procédé original, unique et exclusif, le Chitosan rajouté se lie avec la molécule de chlore du sel et la neutralise créant ainsi une interférence dans la liaison moléculaire sodium-chlore. Le résultat est que le SYMBIOSAL demeure un sel mais totalement dénués des inconvénients du NaCl culinaire classique !
Le SYMBIOSAL conserve le goût et tous les usages culinaires du sel classique et traditionnel (cuissons et condimentaires), mais présente un comportement biologique, physiologique et métabolique dans l’organisme profondément modifié. A la différence du NaCl classique qui induit hypertension, athérome, rétention d’eau, fuite calcique et ostéoporoses, troubles et calculs rénaux, accidents vasculaires cérébraux (AVC) et maladies cardiovasculaires… le SYMBIOSAL est hypotenseur, anti-athéromateux, anti-oedémateux et équilibrant hydrique ( il s’associe aux traitements par les corticoïdes), propice au travail du coeur et des reins, réducteur de la fuite calcique et de l’ostéoporose favorisant la solidité osseuse.
Différents travaux, tant sur les humains que sur les animaux, ont mis en évidence tout l’intérêt du SYMBIOSAL dans la diététique humaine pour toute la famille et à tous les âges de la vie et surtout l’âge avancé.
Le sel cause première de différentes maladies de civilisation.
Pour lutter contre les maladies de civilisation – maladies cardiovasculaires, cancer, rhumatismes, diabète, surpoids – les efforts thérapeutiques doivent être épaulés par une bonne diététique étayée par des facteurs nutritionnels physiologiquement normés comme le SYMBIOSAL.
Pendant des milliers d’années, l’organisme humain a été soumis à une alimentation pauvre en sel et notre patrimoine génétique est resté adapté à un apport sodé très faible sans rapport avec le régime hyper sodé actuel. Les conséquences d’une pratique, d’un mode alimentaire qui fait absorber chroniquement à l’organisme 10 fois trop de sel que ce qui lui est nécessaire est nocif pour la santé et se traduit en affections diverses qui handicapent le plus grand nombre avec l’avancée en âge.
Les données scientifiques et analytiques récentes démontrent qu’une diminution de 3 à 6 g de l’apport quotidien de sel induit une baisse de la pression artérielles notable sous réserve que cette diminution de consommation soit durable voir quasi permanente. Cette restriction de l’apport de sel se révèle bénéfique non seulement pour les hypertendus, mais aussi pour les normo-tendus. Il est certain que le niveau de pression artérielle élevé est étroitement lié au risque de développer une maladie cardiovasculaire ou un AVC (accident vasculaire cérébral). Mais il est également à noter que la grande majorité des cas de mortalité cardiovasculaire touche des personnes avec des niveaux de pression peu augmentés et généralement considérés comme normaux.
SYMBIOSAL pour contenir l’hypertension avec une alimentation normalement sapide.
Dans nos sociétés industrialisées, l’hypertension est considérée comme un phénomène lié à l’âge : à 20 ans pratiquement personne ne souffre d’hypertension et à 70 ans une personne sur deux est hypertendue. Un test de limitation autour de 5-6 grammes par jour de l’apport de sel pendant une période de plusieurs mois chez des personnes de plus de 50 ans a entraîné un baisse de tension importante chez les hypertendus mais aussi chez les normo-tendus.
Et ce niveau d’apport peut être obtenu aisément en remplaçant par du SYMBIOSAL la ration des 3-4 g de sel par jour que nous contrôlons.
La réduction, médicalement suivie, de l’apport journalier de sel de 3 g pendant 3 ans chez 2000 individus a eu pour effet une baisse moyenne du poids corporel de 4,5 kg et une baisse de l’hypertension de 20%. Cette baisse de pression artérielle s’est produite chez les hypertendus et les normo-tendus. Ces 3g correspondent à la dose de sel que nous rajoutons en moyenne chaque jour à notre alimentation et peuvent donc être aisément remplacé par SYMBIOSAL… L’effet hypotenseur de ce régime s’ajoute à celui des médicaments hypotenseurs et peut permettre ainsi de mieux moduler leur usage.
Par ailleurs, des études sérieuses ont mis en évidence que dans les populations vivant avec une alimentation pauvre en NaCl, le niveau de pression artérielle n’augmente pas avec l’âge et que les maladies cardiovasculaires sont pratiquement inconnues. A la différence des populations industrialisées où plus l’apport sodé est important, plus grand est le nombre d’individus souffrant d’hypertension avec l’âge.
SYMBIOSAL pour se prémunir contre les maladies cardiovasculaires.
La corrélation entre consommation excessive de sel et accidents cardiovasculaires est bien établie, pour les infarctus du myocarde et plus encore pour les AVC (Accident Vasculaire Cérébraux), qui augmentent de façon dramatique dans les pays industrialisés.
L’explication est que le sel en excès dans l’organisme favoriserait outre l’augmentation de la pression artérielle, le développement des plaques d’athérome.
Une sage prévention voudrait qu’on instaure un régime aussi hyposodé que possible, mais cela s’avère souvent difficilement tenable et impossible à imposer à toute la famille. La meilleure solution qui rencontrera l’adhésion de tout le monde et qui permet d’enrayer les méfaits du sel dans le domaine cardiovasculaire est son remplacement partout ou cela est possible par SYMBIOSAL dont les propriétés anti-hypertensives ont été documentées et démontrées. Pour ultime preuve : selon les travaux de chercheurs de l’université d’Helsinki en Finlande, une réduction de 30 à 35% des apports en sel dans leur pays, au cours des 30 dernières années, a largement contribué à la chute de plus de 75% de la mortalité cardiovasculaire chez les personnes de moins de 65 ans.
Parallèlement, l’espérance de vie des Finlandais a augmenté de 6 à 7 ans. Bénéfice que l’on peut attendre de la réduction au long cours de l’apport sodé et atteindre facilement à l’aide du SYMBIOSAL.
SYMBIOSAL et régimes hyposodés : plus de bénéfices que si on mangeait sans sel.
Lorsque l’on donne 10 g de sel de cuisine ordinaire à un groupe de personnes normo-tendues et 10 g de SYMBIOSAL à un autre groupe et pas de sel du tout à un dernier groupe, la tension augmente de 7mm de mercure pour le premier, celle de SYMBIOSAL diminue et est tout à fait comparable au troisième qui est sans sel !
Il a été démontré que le sel SYMBIOSAL exerce un effet inhibiteur sur l’activation de l’ACE, (Enzyme de Conversion de l’Angiotensine) qui est connu comme facteur primordial dans l’élévation de la tension artérielle en particulier en liaison avec la consommation de sel. En comparaison avec certaine médication anti-hypertensive, l’action inhibitrice du sel SYMBIOSAL est équivalente à 70% à celle du la médication. Lors d’un test effectué sur des hypertendus, l’amélioration des chiffres de la pression sanguine liée à la consommation de SYMBIOSAL était supérieure à celle obtenue dans le groupe au régime sans sel ! Remplacer 3 à 4 g de sel de cuisine par SYMBIOSAL, correspond à réduire de la ration quotidienne moyenne de sel de 30 à 40% et de rentrer dans les critères de réduction de sel qui ont démontrés leur efficacité et les bénéfices pour la santé au long cours dans les nombreuses études qui précèdent.
SYMBIOSAL et gestion de l’eau corporelle extracellulaire.
L’apport sodé est décisif du volume extracellulaire de l’organisme, une augmentation de l’apport sodé s’accompagne toujours d’une rétention d’eau qui permet de maintenir à peu près constante la concentration de NaCl dans le milieu extracellulaire. Une diminution de l’apport journalier de sel de quelques grammes va se traduire par une élimination d’eau de 1 ou 2 l, et inversement. Réduire l’apport sodé permet ainsi de débarrasser rapidement l’organisme de quelques kilogrammes en régulant la rétention d’eau. Les femmes sont particulièrement concernées car fréquemment sujettes à des problèmes récurrents d’œdèmes.
L’augmentation du volume extracellulaire liée à l’excès de NaCl est également nocive pour les reins et leur fonctionnalité, plus encore en cas d’insuffisance rénale. En cause de l’augmentation du volume sanguin filtré au niveau des glomérules rénaux qui peut initier et accélérer le développement de lésions de ces glomérules.
Enfin un lien existe entre l’apport en NaCl et le développement de calculs urinaires. Diverses études de grande ampleur montrent que les apports en sodium et en calcium sont positivement associés à l’apparition de calculs urinaires.
Là encore remplacer 3-4 g de sel ordinaire par du SYMBIOSAL favorise l’élimination des excès hydriques et la résorption des œdèmes aussi efficacement sinon plus qu’un régime ou l’apport en sel est contrôlé et limité Différents tests ont montré que le SYMBIOSAL réduisait le niveau d’urée azoté (BUN) et le niveau de créatinine urinaire par comparaison au sel de cuisine. Le SYMBIOSAL est donc particulièrement propice au fonctionnement rénal, allège le travail des glomérules et bride la formation de calculs. Il peut être consommé en association avec les corticoïdes.
SYMBIOSAL fragilité osseuse et ostéoporose.
Le lien potentiel entre l’apport sodé et l’augmentation de l’ostéoporose a été démontré par une étude de grande ampleur qui a mis en évidence qu’un apport sodé excessif est associé à une perte osseuse augmentée au niveau du col du fémur et à une perte chronique de calcium dans l’urine chez les femmes ménopausées.
L’excès de NaCl dans l’alimentation provoquerait une perte urinaire de calcium, car la réabsorption de sodium et de calcium est étroitement couplée au niveau rénal privilégiant le sodium, au détriment du calcium. Comme l’apport sodé étant chroniquement élevé dès le plus jeune âge, la perte urinaire de calcium a également été observée chez des adolescentes, avec une limitation possible du développement de la masse osseuse qui aggraverait encore les risques d’ostéoporose après la ménopause. Ce problème est encore aggravé par le faible apport en calcium dans les pays industrialisés qui ne permet pas de compenser cette fuite urinaire du calcium déterminé par l’apport excessif de sodium. Dans ce cas également remplacer 3 -4 g de sel par SYMBIOSAL favorisera la solidité osseuse en contribuant à limiter l’excrétion de calcium car SYMBIOSAL ne rentre pas en compétition avec lui. Une étude comparative entre SYMBIOSAL, le sel de cuisine classique et un régime pauvre en sel portant sur l’excrétion du calcium et la solidité osseuse a donné un net avantage au SYMBIOSAL et a démontré son effet bénéfique sur la gestion du calcium par l’organisme et la consolidation osseuse.
SYMBIOSAL Une solution simple pour conserver le plaisir et préserver l’avenir.
En conclusion, toutes les personnes avisées, normo-tendues ou hypertendues qui ont pour objectif de vieillir sans risquer de voir leur chemin de vie parsemé d’infarctus du myocarde, d’accidents vasculaires cérébraux ou d’autres accidents de santé plus ou moins invalidants, trouveront grand intérêt dans la diminution du sel par l’introduction dans leur régime alimentaire du SYMBIOSAL. Cette initiative perspicace, sensée et judicieuse se révèlera certainement comme un de leurs meilleurs investissements santé dont les bénéfices resteront au rendez vous jusqu’à la fin de leur vie.
Associé au PROPHYSIL et ou au VIRSIL c’est une véritable option BIEN-ÊTRE qu’ils prennent sur leur longévité et leur SANTE.
Pour ceux qui sont déjà accidentés cardiaques ou vasculaires cérébraux, ou affectés par l’ostéoporose le diabète ou les calculs rénaux accompagnés de traitements plus ou moins contraignants, ils tireront encore meilleur profit de la consommation de SYMBIOSAL.
Seul ou associé à KITOCARE Q10 ou à KITO HFP (fragilité cardiovasculaires et osseuse), le SYMBIOSAL contribuera à soulager leur pathologie, à empêcher leur aggravation, tout en préservant le futur en facilitant les régimes diététiques souvent de rigueur.
De plus, parfaitement compatible avec la plupart des traitements médicaux, il améliorera notablement leur qualité de vie ainsi que celle de toute leur famille.
Docteur Jean-Pierre WILLEM
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