Et Vous ? A quoi êtes-Vous allergique ? Déjà aujourd’hui cette question se pose pour beaucoup ! Et demain possiblement pour bien plus encore …

Qu’elles soient respiratoires, cutanées, oculaires ou alimentaires, les allergies et les intolérances alimentaires explosent depuis quarante ans. Désorienté par toujours plus d’agressions répétées et d’allergènes, le système immunitaire en vient à être en état d’alerte permanent et à se mobiliser exagérément et inconsidérément. Et il est de notoriété qu’être allergique ou intolérant alimentaire un jour… c’est demeurer allergique ou intolérant toujours ! Mais ceci n’est plus inéluctable ni vrai ! Un facteur nutritionnel (à base d’une souche de germes probiotiques spécifiques), diminuant la perméabilité de la muqueuse intestinale, favorisant la modération de toutes les réactions allergiques et la désensibilisation de l’organisme aux substances allergisantes du quotidien est maintenant disponible !
Une vie sans allergie est une perspective d’avenir possible.


D’après l’OMS, les allergies et intolérances se situent maintenant au sixième rang des maladies dans le monde. Depuis les 30 dernières années, on a observé une explosion des cas d’allergies et d’intolérances alimentaires dans les pays industrialisés et ce, quel que soit le type d’allergie. Il existe quatre grands types d’allergies: les allergies respiratoires, les allergies cutanées, les allergies oculaires et les allergies alimentaires auxquelles il faut rajouter les intolérances alimentaires.
En France, en 2011, il a été estimé que 22 millions de Français étaient touchés par différentes allergies. Cela représente environ une personne sur trois. Les chiffres ne cessent de s’aggraver, il y a 40 ans par exemple, moins de 5% de la population était atteint et moins de 10% en 1980. Parmi les allergies, une sur deux est de type respiratoire, causée principalement par les acariens et par les pollens. De plus en plus de personnes ont des problèmes d’allergies et d’intolérances alimentaires (+100% en 5 ans), Selon certains spécialistes, si aucune mesure n’est prise, les projections prévoient que près de la moitié de la population européenne sera touchée avant le milieu du siècle. Selon eux, la pollution de l’air ainsi que les changements du mode de vie et d’alimentation pourraient en être les principales causes.

Quelle que soit l’allergie, les mécanismes physiologiques sont toujours les mêmes. L’allergie, aussi appelée hypersensibilité, est une réaction inadaptée du système immunitaire contre des éléments étrangers à l’organisme (allergènes) et normalement inoffensifs. Les effets de cette réaction sont divers et se manifestent de différentes manières sur le corps et dans l’organisme. De la larme à l’œil en passant par les éruptions cutanées, les troubles digestifs ou encore les difficultés respiratoires, les symptômes et leur intensité vont varier en fonction de multiples facteurs, souvent propres à chaque personne. Ils peuvent être très discrets, comme l’apparition de rougeurs sur la peau, ou potentiellement mortels, comme le choc anaphylactique.

Le mécanisme initiatique de l’allergie est bien connu et se déroule en deux phases :

1.  La phase de sensibilisation, qui a lieu lors du premier contact entre le corps et l’élément allergène non toléré et pendant laquelle le système immunitaire identifie cet élément comme dangereux et se met à fabriquer des anticorps spécifiques contre lui. Les anticorps, ou immunoglobulines, sont des substances fabriquées spécifiquement par le système immunitaire qui ont pour fonction de reconnaître et de détruire certains éléments étrangers susceptibles d’être nocifs auxquels le corps est exposé. Le système immunitaire produit cinq types d’immunoglobulines appelés IgA, IgD, IgE, IgG et IgM, qui ont chacun des fonctions spécifiques. Chez les personnes allergiques, ce sont surtout les IgE qui sont impliquées, chez les intolérants alimentaires les IgG .

2. la phase de réaction allergique qui a lieu lorsque l’élément allergène pénètre une nouvelle fois dans l’organisme. Le système immunitaire étant conformé à contrarier la présence de l’allergène, les anticorps cherchent à l’éliminer en déclenchant un ensemble de réactions de défense conduisant à l’apparition des symptômes caractéristiques de l’allergie ou de l’intolérance alimentaire.

Ces réactions de défense, peuvent, dans leur forme la plus grave, conduire à la réaction anaphylactique, subite et généralisée et toucher tout l’organisme. Dans le cas des intolérances alimentaires elles peuvent demeurer silencieuses tout en perturbant progressivement l’organisme.

Une exposition toujours croissante aux allergènes.

A l’échelle du monde, les allergies et intolérances augmentent plus rapidement dans les pays industrialisés que dans les pays en voie de développement. C’est donc dans notre environnement et nos modes de vies qu’il faut chercher les raisons à l’explosion des dérèglements allergiques. L’apparition de multiples facteurs nouveaux potentiellement allergènes et perturbateurs brouille notre système immunitaire. Ils l’entraînent à combattre des éléments normalement considérés inoffensifs comme les pollens, les acariens et les composants alimentaires !
Le mode et le cadre de vie des sociétés industrialisées ont connu et connaissent des modifications importantes. L’origine de l’expansion galopante des allergies et intolérances digestives trouve son origine :

> dans la mutation de notre mode et style de vie : de plus en plus de facteurs allergisants dans notre quotidien, animaux domestiques (chien, chats), produits chimiques (désodorisants, produits d’entretien et de lavage), qualité des tissus d’habillement…

> dans la mutation notre environnement : pollution, résidus chimiques, particules fines et métaux lourds.

> dans les changements climatiques entraînant une migration de pollen du sud vers le nord.

> dans la mutation qualitative de notre alimentation : résidus de traitements chimiques phytosanitaires, produits chimiques de conservation, fruits et végétaux exotiques.

> dans les conditions actuelles d’hygiène et d’asepsie de notre cadre de vie, ce qui restreint le potentiel d’acquisition et l’étendue de la mémoire immunitaire.

Négligées, les allergies et intolérances digestives peuvent dégénérer en pathologies lourdes.

Les allergies et intolérances, si elles apparaissent la plupart du temps comme bénignes, sont tout de même responsables de symptômes et de pathologies qui font bien plus qu’empoisonner la vie au quotidien. L’ampleur des réactions varie d’un individu à un autre et leurs symptômes peuvent être légers, modérés ou graves. Symptômes légers lorsqu’ils demeurent localisés en un point de l’organisme, modérés lorsqu’ils envahissent et se répandent à d’autres parties du corps, graves lorsqu’ils aboutissent à une réaction anaphylactique.
Celle-ci peut provoquer une chute de tension très importante qui peut mener jusqu’à une perte de conscience. Ce type de réaction relève de l’urgence médicale sur le plan des symptômes et de la prévention de la récidive qui pourrait s’avérer fatale.
En fonction du type d’allergie, les symptômes sont bien spécifiques. Par exemple : les réactions d’allergies alimentaires se manifestent par des plaques rouges et blanches sur la peau, des démangeaisons, l’enflure des yeux, de la langue et du visage. En cas d’allergie plus grave, une réaction anaphylactique peut se produire. Les symptômes apparaissent généralement dans les 30 minutes suivant la consommation de l’aliment.
Dans un deuxième temps, la récurrence des manifestations allergiques va provoquer certains types de pathologies. Ainsi, les allergies respiratoires entraînent rhinite et asthme. Les allergies alimentaires entraînent crise d’urticaire, œdème, vomissement, crise d’asthme, mal de ventre, eczéma, troubles digestifs. Les allergies cutanées entraînent dermatite, photodermatose (allergie au soleil) et allergies de contact. Les allergies médicamenteuses entraînent : irritation cutanée, arthrite et problèmes rénaux. Plus généralement, les manifestations allergiques, même bénignes, ne sont pas à négliger. Les allergies non traitées contribuent à favoriser des pathologies lourdes. Les intolérances digestives engendrent un processus inflammatoire qui est impliqué dans la migraine, le surpoids, les troubles gastro-intestinaux, les maladies rhumatismales, la dépression.

Les probiotiques, un pilier vital de l’immunité.

Les allergies et intolérances digestives trouvant leur cause dans une réactivité dysfonctionnelle du système immunitaire, c’est sa régularisation qui les normalisera. Et les meilleurs agents de conformation, de régénération et de régulation de l’activité du système immunitaire sont certains germes probiotiques de notre flore naturelle. Ce sont les micro-organismes utiles qui peuplent la cavité buccale, la lumière intestinale et le conduit vaginal. Sans eux la vie serait impossible. Leur présence est indispensable pour contrer la prolifération des micro-organismes nuisibles, pour la digestion et la valorisation des aliments et des nutriments. Une flore (microbiote) de 100 000 milliards de bactéries appartenant à 400 espèces différentes peuple l’organisme.
De trente à quarante espèces de ces bactéries représentent 99 % de ce microbiote et forment un écosystème stable essentiel au maintien d’une bonne santé. On sait que ces germes probiotiques (favorable à la vie) interviennent par trois principaux mécanismes.

> En premier les germes probiotiques modulent l’activité du système immunitaire intestinal. Ils stimulent, régénèrent et renforcent l’immunité lorsqu’elle est faible, par exemple au moment du développement du système immunitaire chez l’enfant, ou lors de son vieillissement avec le progrès de l’âge. Ils régularisent également la suractivation du système immunitaire, notamment dans les cas d’allergies ou de maladies inflammatoires de l’intestin.

> En second lieu, les probiotiques augmentent la fonction de barrière de la muqueuse intestinale. Ils limitent le passage des agents pathogènes en accentuant par exemple la production de mucus ou des anticorps de type IgA. Ce qui est clé dans la régularisation et la prévention des intolérances digestives.

> En dernier lieu, les probiotiques ont des effets antimicrobiens directs, en prenant la place des bactéries pathogènes et en empêchant leur adhésion aux parois intestinales.

Tous les probiotiques ne sont toutefois pas logés à la même enseigne et des études spécifiques doivent être menées pour chaque type de germe. Les propriétés immuno-modulatrices des bactéries sont spécifiques à chaque espèce.
Parmi les différentes espèces de probiotiques, les bactéries lactiques, en particulier les lactobacillus, comptent parmi les plus actives et les plus étudiées. Leur nom générique vient du fait qu’elles produisent de l’acide lactique. Ces lactobacilles probiotiques jouent un rôle majeur dans la digestion, la constitution de l’immunité intestinale et générale ainsi que la régulation de tout le processus immunitaire. C’est pour cette raison qu’ils présentent le meilleur intérêt dans le traitement des allergies.

Certains Lactobacilles probiotiques sont les meilleurs alliés contre les allergies.

Le rôle précurseur et architectural de l’immunité digestive dans la mise en place de l’immunité générale est bien établi. Ce qui a initié l’hypothèse que les terrains allergiques pourraient avoir une flore digestive qualitativement défaillante. Hypothèse confirmée depuis par des études sur la flore des enfants allergiques montrant une carence marquée en certains lactobacilles et sa colonisation par des germes indésirables. L’ajout de certaines souches de lactobacilles favorise la restauration d’une perméabilité normale de la barrière digestive, le retour d’un écosystème bactérien favorable et une saine maturation du système immunitaire en défaveur des manifestations allergiques.
Mais toutes les souches de germes probiotiques n’ont pas le même rôle ni les mêmes fonctions et propriétés. Ils ne sont pas équivalents mais spécifiques. Ainsi il a été démontré que seuls certains LB exercent des effets favorables sur la barrière immunitaire digestive et diminuant la production dans l’intestin des cytokines pro-inflammatoires caractéristiques de l’inflammation liée à l’intolérance de type allergique (IgE) et/ou digestive (IgG). Ce pouvoir de bloquer la réaction allergique et de participer à la diminution du processus inflammatoire varie selon le type de probiotique utilisé. Les plus récentes recherches et études ont fait particulièrement ressortir au sein du genre Lactobacillus le LB PLANTARUM un germe remarquable pour sa capacité à lutter contre les manifestations et les phénomènes inflammatoires liés aux réactions allergiques ou, d’intolérances alimentaires.

Le Lb PLANTARUM un des probiotiques plus actifs.

Le Lactobacillus Plantarum, comme tous les probiotiques, est une bactérie bénéfique et très utile pour la santé. Lactobacillus est le plus grand groupe du genre des bactéries productrices d’acide lactique.
Lactobacillus Plantarum est une des espèces les plus actives parmi les 50 espèces de Lactobacillus.
Lactobacillus Plantarum est un germe probiotique des plus polyvalents.
Il se trouve dans le matériel végétal et le tractus gastro-intestinal des animaux et des humains. Il est utilisé dans la fermentation des légumes  (choucroute, kimchi, cornichons…) et le pain au levain. Il a été utilisé à cette fin depuis des centaines d’années, et se présente comme une option saine pour la conservation des aliments. Lactobacillus plantarum a démontré être un facteur de bonne santé digestive et un traitement efficace pour le syndrome du côlon irritable (IBS), la maladie de Crohn et la colite. Il a la capacité de détruire les agents pathogènes et de préserver les nutriments essentiels, les vitamines et les antioxydants dont il favorise la biodisponibilité. Les recherches récentes sur le Lactobacillus Plantarum ont montré que certaines espèces de cette variété de Lactobacille étaient particulièrement efficaces dans la prévention des allergies. Deux études menées en 2008 comparant l’activité de différentes variétés de micro-organismes probiotiques ont montré que c’est le Lactobacillus Plantarum qui a permis la plus grande réduction de l’immuno-réactivité dysfonctionnelle. Dans de nombreux cas, on a constaté une réduction des phénomènes de pratiquement 99%.
Des études réalisées par des chercheurs suédois et polonais ont montré que l’utilisation de Lactobacillus Plantarum améliore l’état du foie et réduit l’inflammation des muqueuses intestinales. Les douleurs et ballonnements abdominaux chez les patients atteints du syndrome du côlon irritable ont été réduits et la fréquence des selles normalisées.
L’établissement dans les intestins d’une colonie saine de Lactobacillus Plantarum empêche les bactéries nuisibles de se fixer à la muqueuse intestinale, régénère et renforce sa perméabilité réduisant ainsi l’intolérance digestive.
Très important également, les Lactobacillus Plantarum ont démontré une excellente résistance à la plupart des antibiotiques. Un traitement aux antibiotiques provoque la prolifération des champignons chez les adultes et les enfants. Il en résulte souvent des maux d’estomac et un système digestif perturbé. Mais la présence dans les intestins d’une colonie active de Lactobacillus Plantarum empêche la prolifération mycosique et élimine ce problème commun à l’utilisation quelquefois inévitable des antibiotiques.

Le Lb Plantarum K1, le plus actif pour prévenir les réactions aux allergènes et les intolérances digestives.

Les effets antiallergiques des bactéries lactiques sont suggérés par plusieurs études épidémiologiques qui ont démontré qu’un défaut de colonisation de l’intestin par les lactobacilles et les bifidobactéries est associé à une plus forte réaction et sensibilité aux allergènes. De plus, des études menées sur des cas d’asthme et des cas de dermatite atopique montrent que certaines souches de bactéries lactiques, en particulier le Lb Plantarum, réduisent les symptômes liés à l’allergie. Mais là encore tous les Plantarum ne sont ni équivalents ni identiques. Comme pour le raisin et le vin, de multiples facteurs (qualité des germes, substrat, savoir-faire technologique) interviennent dans la sélection de la souche efficiente et de ses propriétés.
S’appuyant sur l’activité positive reconnue du Lb Plantarum contre les allergies, un laboratoire Coréen a sélectionné et obtenu, par fermentation d’une base végétale, un germe expressément et spécifiquement dédié à la régulation des phénomènes inflammatoires en général et à la lutte contre les allergies et les intolérances digestives en particulier. Cultivée sur un substrat spécifique, cette souche particulière et exclusive ainsi obtenue a été baptisée Plantarum K1 et brevetée.
Le Lb Plantarum K1 a été particulièrement étudié pour sa capacité à inhiber et à réguler la sécrétion par le système immunitaire d’agents inflammatoires tels que les cytokines, molécules générées par l’organisme en grand nombre lors des réactions allergiques ou d’intolérances. Ce qui a pour effet de réduire considérablement les symptômes d’intolérance aussi bien digestifs que cutanés et respiratoires. De plus, les études ont montrés que le Plantarum K1 agit sur la prolifération des IgE, IgG ces immunoglobulines fortement présentes lors des réactions allergiques ou d’intolérance digestive. Lors des études, un groupe témoin a pris du Platarum K1 durant une courte période puis les patients ont été exposés à l’allergène qui déclenche normalement une réaction allergique. Les analyses ont montrés qu’il n’y avait pas de hausse des marqueurs habituels de l’allergie et aucune réaction symptomatique n’a été notée. Le Plantarum K1 est donc non seulement un agent modérateur de la réaction allergique et permet de limiter l’ampleur d’une réaction allergique mais, pris en prévention, il lutte contre la sensibilité du système immunitaire aux allergènes. Ce qui, à terme, induit une désensibilisation de l’organisme aux allergènes et la fin des allergies.
Cette souche complément alimentaire, nommé ALLERGARUM a donc pour vocation de devenir le probiotique fonctionnel spécifique des terrains allergiques et intolérants sans pour autant négliger la qualité et la fonctionnalité de la flore intestinale.
Le lactobacillus Plantarum K1 contribue à réduire les réactions dermatologiques, respiratoires, digestives, bref tous les symptômes des allergies et intolérances.

En prime… tous les bénéfices de la famille des Lb Plantarum.

Les larges effets bénéfiques, sur la digestion, le métabolisme, le côlon irritable, le foie, le transit, les champignons (mycoses), la résistance aux antibiotiques, qui ont pu être notés lors des différentes études sur la famille des Lb Plantarum se retrouvent dans les souches Plantarum K1. Mais à ces études évoquées, on peut en rajouter bien d’autres rapportant une activité anti-tumorale, une activité antimicrobienne, un effet immunostimulant, ainsi qu’une propriété à lutter contre l’hélicobacter pilori, bactérie responsable des ulcères d’estomac. Enfin, en décembre 2008, le Plantarum K1 a démontré une puissante activité antivirale sur différents virus, notamment celui de la grippe. Enfin, ultime gratification que beaucoup vont apprécier, le Lb Plantarum K1, en luttant contre les intolérances digestives, démontre une activité
régulatrice du poids corporel mais plus encore du volume abdominal… le tour de taille diminue de quelques centimètres en quelques semaine évidemment uniquement chez ceux qui en ont besoin !
Et bien des ressorts de ce probiotique exclusif et particulier restent encore à découvrir.

ALLERGARUM, une solution propice à toutes les allergies.

ALLERGARUM se place en première ligne de défense dans la lutte contre les allergies et les intolérances alimentaires. Aussi bien pour calmer les symptômes lors des crises qu’en prévention afin de moduler la sensibilité immunitaire aux allergènes. Quel gain en qualité de vie quand le quotidien ne connait plus ni crises d’asthme, ni yeux irrités, ni nez qui coule, ni plaques d’urticaire, ni crise d’eczéma, et que le printemps qui se profile ignorera le rhume des foins…
ALLERGARUM est un complexe qui contient exclusivement des probiotiques Plantarum K1 sur support de maltodextrine, micro encapsulés, dosé à 20 milliards de germes au gramme et stabilisé dans une poudre de glucose. La consommation quotidienne optimale est de 2 à 3 grammes à consommer tel quel (c’est bon) le matin au lever, à diluer dans une boisson froide ou tiède ou à saupoudrer sur un yaourt (lait ou soja).Ces doses peuvent être largement augmentées en cas de besoin.

Docteur Jean-Pierre Willem